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1 - ÉVOLUTION DE L’ANALOGIQUE AU TOUT NUMÉRIQUE

2 - CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES

3 - VIDÉODISQUE LASERVISION

4 - DISQUE OPTIQUE NON INSCRIPTIBLE : LE DISQUE COMPACT

5 - DISQUE OPTIQUE INSCRIPTIBLE

6 - DISQUE OPTIQUE RÉINSCRIPTIBLE

| Réf : E5450 v2

Considérations générales
Disques optiques

Auteur(s) : Bernard PROST

Date de publication : 10 mars 1995

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INTRODUCTION

L’ère du tout numérique vient de commencer, essentiellement avec la prise en compte de l’image, qu’il s’agisse de l’image photographique fixe ou animée, ou de l’image document (plans, documents administratifs). Pour cela, il a fallu résoudre techniquement et économiquement les problèmes de compression/décompression liés au volume énorme que génère un document numérisé et disposer de mémoires de masse amovibles de capacité suffisante. Celles-ci sont désormais disponibles sous forme de mémoires optiques, numériques ou non, elles-mêmes liées aux possibilités offertes par les lasers. Grâce aux mémoires optiques, la Gestion Électronique de Documents et le cinéma numérique deviennent une réalité.

Nota :

L’auteur remercie M. Georges Broussaud de lui avoir permis d’utiliser de larges extraits de sa contribution à la 3e édition de l’ouvrage LE LASER, publié en 1990 par les Éditions « Techniques et Documentation Lavoisier ». Ses remerciements vont aussi à cet éditeur pour l’autorisation donnée aux « Techniques de l’Ingénieur » de reproduire ci‐après les extraits en question.

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VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v2-e5450


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2. Considérations générales

2.1 Pourquoi l’optique ?

Le stockage d’informations sur un média effaçable a d’abord pris la voie du support magnétique. Technologie bien connue dans le secteur du son et de l’image vidéo, elle s’est naturellement imposée aux fabricants de médias qui y ont essentiellement vu l’intérêt de pouvoir écrire, effacer et réécrire des informations dont la durée de stockage doit dépasser celle de mise sous tension d’une mémoire vive. Ce mode de stockage connaît des limites du fait que, pour des raisons qui tiennent au rendement énergétique des têtes d’écriture et de lecture, l’entrefer a la forme d’une fente rectangulaire (figure 1) dont la longueur ne peut guère être réduite au‐dessous d’une quinzaine de micromètres.

Si l’on ajoute à cela que ces têtes ne peuvent opérer en contact direct avec le film magnétique (ce qui conduit à prendre en compte une forme divergente du champ magnétique), la largeur effective des bits enregistrés est sensiblement supérieure à celle de l’entrefer. De telle sorte que, même avec des hauteurs de vol de seulement 0,3 µm, et des entrefers réduits à quelques dixièmes de micromètre, la largeur minimale de l’empreinte magnétique sur le film d’oxyde est voisine, elle aussi, du micromètre (pour une longueur de 30 µm au moins).

L’optique, elle, permet des géométries beaucoup plus fines : l’acuité nominale d’un stylet optique est en effet égale au diamètre de la tache de diffraction de l’objectif utilisé à cette fin. Elle est donc voisine, en pratique, de la longueur d’onde de la radiation utilisée (par exemple, inférieure au micromètre).

Cette approche est par ailleurs associée à l’apparition du laser : comme nous le verrons, l’obtention d’une puissance lumineuse suffisante au niveau de la tache de diffraction, conduit à disposer d’une source cohérente de rayonnement, c’est‐à‐dire d’un laser. Ainsi, dans l’état actuel de la technologie, la dimension du point élémentaire est-elle voisine du micromètre, ordre de grandeur que l’on comparera aux 30 à 50 µm des meilleures technologies magnétiques classiques.

L’optique permet par ailleurs un tracking de la piste ...

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