Présentation
INTRODUCTION
Comment mettre en œuvre la pierre en construction ? Le lecteur découvre, au fil de plusieurs chapitres clairs, émaillés de nombreuses photos, d’abord l’étape de préparation (qui passe par le choix des blocs à celui du mortier), puis celle de la maçonnerie de moellons, appelée aussi « limousinage », ou en pierres sèches, etc., et toutes les autres, moins connues, comme les pierres calepinées, ou encore les « mixtes ».
La seconde partie est divisée en deux chapitres où sont données des informations détaillées sur les parements et les calculs nécessaires à la stabilité des murs, plus de nombreux conseils de lutte contre les risques de déformations.
Le lecteur est invité à lire, pour plus d’informations sur le sujet, les articles complémentaires suivants :
-
l’essentiel à retenir sur les roches [TBA1610] ;
-
sur les pierres à bâtir [TBA1615] ;
-
quels sont les types de matériaux et de construction en pierre [TBA1620] ;
-
tout savoir sur les méthodes de nettoyage et de protection de la pierre [TBA1640] .
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Techniques du bâtiment : l'enveloppe du bâtiment
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Plan de la page |
I - Dimensionnement
Facteurs à prendre en compte
La résistance d’une maçonnerie sous ses charges dépend de nombreux facteurs :
- résistance propre des pierres et dispersion des résistances d’un bloc à l’autre ;
- résistance du mortier de pose ;
- cohésion d’ensemble grâce à l’adhérence mutuelle, à la qualité des assises (pierre taillée ou brute) et à l’appareillage ;
- dimensions de la maçonnerie (longueur, épaisseur, hauteur) ;
- mode d’application des charges (centrées ou excentrées) ;
- type de jointoiement : en plein ou en creux.
Tous ces facteurs sont développés successivement :
- la résistance : le tableau 1 indique quelques valeurs qui montrent la grande dispersion que l’on peut rencontrer ;
- le mortier de pose : sa résistance doit être en rapport avec les blocs. Mais il bénéficie d’un effet de frettage de la part de ces derniers, surtout si les joints d’assise sont minces et réguliers ;
- la maçonnerie forme un ensemble cohérent si la fissuration ne trouve pas de cheminement préférentiel entre mortier et blocs, d’où la nécessité d’une bonne adhérence. On recherche aussi un appareillage multipliant les recouvrements transversaux et longitudinaux (joints croisés) pour que toute amorce de fissure rencontre un bloc qui empêche son développement.
Régions | Maçonnerie porteuse | Maçonnerie de remplissage... |
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