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Chimie minérale

Chimie minérale dans l'actualité

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Chimie minérale dans les ressources documentaires

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 janv. 2021
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  • Réf : COR415

Réactivité des surfaces de béton

Alors que la réactivité des surfaces de béton influence directement son esthétique et sa durabilité, de nouvelles fonctionnalisations de surface destinées à élargir le domaine d'utilisation du béton voient le jour en faisant appel à la réactivité de certaines charges. Cet article a pour objectif d’expliquer comment la réactivité de surface du béton peut être reliée à sa composition chimique et aux interactions avec son environnement. De nombreux exemples liés à la présence d'ions en solution, aux conditions de coffrage, à l'incorporation de charges particulières dans le mélange et à l'application de revêtements de protection sont détaillés dans cet article.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 juil. 2022
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  • Réf : G1745

Photocatalyse dans le traitement de l’air

La photocatalyse fait partie des procédés d’oxydation avancés. Le principe consiste à générer des radicaux in situ pour dégrader les molécules polluantes. Dans le cas de la photocatalyse, les radicaux OH * et O 2 *- sont générés par radiation UV sur un semi-conducteur, souvent du TiO 2 . Cet article est divisé en 4 parties. Une première partie présente les fondamentaux de la photocatalyse. La deuxième partie traite de l’élaboration du matériau photocatalytique (matériau supporté et dépose de TiO 2 ) ainsi que des améliorations apportées (matériau à base de fibres optiques). La troisième partie aborde la problématique de la photocatalyse dans des réacteurs discontinus et continus. L’influence des paramètres opératoires y est également présentée. Enfin dans la dernière partie sont abordées les applications en traitement d’air intérieur et des effluents industriels. L’aspect combinaison des procédés  pour l’amélioration des performances y est également noté.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 nov. 2019
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  • Réf : P595

Caractérisation par la détermination des masses molaires

Cet article donne un aperçu général des différentes méthodes permettant d’accéder à la connaissance de la masse d’une molécule. Sont abordées aussi bien des méthodes anciennes adaptées aux petites molécules telles que les méthodes colligatives (ébulliométrie, cryoscopie, tonométrie, osmométrie) que les méthodes utiles pour des applications dans le domaine de la chimie macromoléculaire. Il s’agit de l’ultracentrifugation, la viscosité, la chromatographie d’exclusion stérique, les méthodes liées à la diffusion de la lumière, ces deux dernières étant le plus souvent associées pour déterminer non seulement la masse molaire moyenne mais aussi la courbe de distribution des masses de la substance.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 08 déc. 2014
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  • Réf : 1181

Actions des particules ultrafines (PUF) sur l’organisme : les nanomatériaux (NM)

Les nanomatériaux résultent de la structuration de la matière au niveau atomique, moléculaire ou supramoléculaire à des échelles caractéristiques inférieures au micromètre (μm) de manière naturelle ou industrielle.

On peut observer de nouveaux comportements physico-chimiques de ces particules ultrafines par rapport aux poussières fines de taille supérieure à un micromètre.

Cette fiche vous permettra de découvrir les propriétés des nanomatériaux, ainsi que leur impact sur l’Homme et l’environnement.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1817

Produire de la chaleur à faible contenu carbone pour les usages industriels

La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).

Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.

Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.


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