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DisaSolar mise sur le photovoltaïque organique fabriqué par impression jet d’encre

Posté le 11 juin 2012
par La rédaction
dans Chimie et Biotech

Le spécialiste français du photovoltaïque souple, DisaSolar,signe un partenariat avec les laboratoires de recherche du Holst Centre / Solliance aux Pays-Bas.

« Devenir le numéro 1 du photovoltaïque de 3ème génération ». Telle est l’ambition affichée par Stéphane Poughon, président de DisaSolar. L’entreprise, qui commercialise et installe des panneaux photovoltaïques flexibles « Thin films » dits de « 2egénération », prépare l’avenir et mène en parallèle le développement de panneaux dit de « 3e génération », ou photovoltaïque organique.

Son objectif est de mettre au point un procédé de fabrication de panneaux solaires organiques souples par impression. Pour y parvenir, la PME implantée à Limoges développe ses partenariats. Après les deux laboratoires publics CEA/INES et CNRS/XLIM et le Queens University canadien, c’est au tour du Holst Centre / Solliance aux Pays-Bas de s’associer à cette dynamique.

« Grâce aux compétences et aux forces conjuguées des 4 laboratoires de recherche avec lesquels nous coopérons, nous avons aujourd’hui les moyens de notre ambition » se félicite Stéphane Poughon. Pour compléter ce « cloud », DisaSolar peut aussi compter sur son partenaire Ceradrop, une PME spécialisée dans l’électronique imprimée et qui a pour mission le développement de solutions d’impression jet d’encre dédiées.

Par Audrey Loubens, journaliste scientifique