2. Aspects de la motorisation
2.1 Modèles de véhicules connectés
Un véhicule connecté (CV) n’implique pas que sa propulsion soit d’origine électrique ou même que le véhicule soit totalement autonome, dans sa conduite ou dans sa propulsion. Quatre modèles de véhicule connecté peuvent être considérés : un premier à propulsion classique par moteur thermique (gaz, essence ou diesel), un second à pile à combustible, un troisième à énergie récupérée du rayonnement solaire et stockée dans des batteries échangeables, et un quatrième concernant des modèles hybrides associant un moteur thermique classique avec un moteur de technique innovante. Dans tous les cas, des travaux de recherche et de développement remettent tous en cause l’ensemble des éléments participant à la conception des véhicules, tels que nous les avions connus jusqu’ici.
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2.2 Comparaisons des solutions proposées
Le tableau 1 résume les caractéristiques les plus marquantes des solutions de motorisations actuellement envisagées.
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2.3 Autoproduction et autoconsommation d’énergie
Il est possible, depuis le XIXe siècle, de produire et de consommer sur place son énergie électrique. Aujourd’hui, le compteur d’énergie Linky des installations privées présente un fonctionnement bidirectionnel et, mise à part la question des compensations financières propres à stimuler l’autoproduction, il demeure à résoudre la question des excédents d’énergie produits. En effet, l’optimum individuel local ne correspond pas toujours avec l’optimum collectif national et si les pertes en ligne sont réduites avec l’autoproduction, il reste à mettre en œuvre un système approprié de stockage d’énergie.
Avec un potentiel de production d’énergie photovoltaïque (PV) s’étendant de 11 à 16 heures en hiver, la production locale...
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