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F1 dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mai 2007
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  • Réf : E3585

Conception des cartes pour ordinateurs. Partie 1

. Partie 1 ] et le suivant [ Conception des cartes pour ordinateurs. Partie 2 ], nous analysons... et la figure  1 illustrent la loi de Moore et son application aux microprocesseurs de la gamme Intel... pour une impédance de 50 Ω pour un rapport w / h de 2, soit un conducteur de 1 mm de large, ce qui est compatible... fois l’effet de peau. Exemple dans le cas du cuivre à 1 GHz, l’épaisseur est d’environ 2 µm...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mars 2007
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  • Réf : P1473

Chromatographie planaire. Partie 1

de masse (couplage TLC-MALDI par exemple) (voir Chromatologie planaire, partie 2 [P 1... est caractérisé, comme en CLHP, par deux types de pores, les macropores (1 à 2 µm) et les mesopores (13 nm... par l’utilisateur. On trouvera dans des ouvrages spécialisés [1] [2] le protocole expérimental pour préparer... est déposée à l’aide d’un capillaire calibré ou d’une seringue à une petite distance (1 cm en général...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 déc. 2008
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  • Réf : R6030

Mesures en acoustique industrielle. Partie 1

F, A  ≥ 1, la vérification de calibrage sera aisée ; mais, pour des modifications du microphone... pour lequel W / W 0  ≥ 10 1/10 . On pourrait envisager de faire une analyse fine de cette puissance en utilisant... des filtres de faible largeur (1 Hz). Le résultat obtenu serait une densité spectrale de puissance acoustique... (filtres d'octave ou de tiers d'octave (§  2.3.1 ), et l'on dispose d'un nombre restreint de résultats (de...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 18 mai 2014
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  • Réf : 0423

Effectuer un choix ou donner un poids entre alternatives de solution

Dans les projets de conception innovante, lors des phases d’analyse fonctionnelle et au sein d’une approche analyse de la valeur, vous serez à plusieurs reprises en situation soit de comparer des alternatives comme des concepts de solutions innovantes, soit d’attribuer un poids (un pourcentage d’importance) à des situations d’usage, à des fonctions de services ou à des segments de clients de votre produit ou service. Il s’agit donc de savoir déterminer un jeu de poids ou de choisir une meilleure alternative.

Des techniques dites de « tri croisé » existent et sont assez couramment utilisées par les praticiens pour déterminer des poids. Vous utilisez même peut-être un logiciel qui vous aide à générer des poids ou à hiérarchiser l’importance de solutions ou de fonctions. Or, il faut se méfier de ces techniques de « tri croisé », car elles déforment l’avis des experts et peuvent aboutir à des résultats erronés. Pourtant, des méthodes simples et exactes, aussi faciles d’utilisation à l’aide d’une feuille de calcul Excel®, existent et sont connues depuis quarante ans. Elles se dénomment « comparaisons par paires » et sont à l’avènement de l’aide à la décision multicritères (ADMC) comme domaine d’étude.

Cette fiche a pour but de vous aider à :

  • comprendre pourquoi les méthodes de tri croisé sont erronées ;
  • vérifier que votre logiciel utilise une méthode de pondération correcte ;
  • proposer deux méthodes de comparaison par paires simples ;
  • pratiquer la méthode à l’aide d’exemples et d’une première feuille de calcul Excel fournie.

Méthodes, outils, pilotage et cas d'étude

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 06 sept. 2012
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  • Réf : 0541

Études des dangers : banques de données et pondération des valeurs

La quantification des risques industriels nécessite d’évaluer les deux composantes du risque que sont la probabilité et la gravité de phénomènes dangereux tels que les incendies ou les explosions.

De plus en plus, l’évaluation de la probabilité repose sur la mise en œuvre de méthodologies dites probabilistes qui prennent en compte de nombreux paramètres parmi lesquels on peut citer la fréquence des événements redoutés, les probabilités de défaillances des barrières de sécurité et les probabilités d’inflammation.

Ces différents paramètres peuvent être quantifiés en ayant recours à des banques de données. Cette manière de procéder a pour principal intérêt d’être relativement simple à mettre en œuvre. En revanche, une question subsiste : les valeurs rapportées dans les banques de données sont-elles représentatives du cas étudié ?

Dès lors, afin d’adapter les valeurs issues des banques au cas étudié, il est fréquent que l’analyste « pondère » les valeurs pour tenter de retranscrire certaines spécificités du cas étudié. Dans le cadre des analyses de risques quantifiées, le paramètre le plus fréquemment « pondéré » est incontestablement la fréquence de fuite sur canalisation.

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 03 mai 2012
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  • Réf : 0622

L’analyse fonctionnelle : rechercher les gains par fonction

Vous devez « reconcevoir » ou créer un produit ou système répondant au besoin de l’utilisateur. Pour cela, vous avez identifié et caractérisé toutes les fonctions de service et trouvé les fonctions techniques correspondantes.

Après un travail de recherche de solutions, vous avez trouvé tous les composants et les solutions technologiques correspondantes pour réaliser les fonctions techniques.

Chaque composant possède une valeur marchande et représente un coût. Avec un tableau simple de correspondance appelé « matrice transfert », vous allez calculer le coût de réalisation d’une fonction technique (FT) (cf. fiche Évaluation des coûts par fonction).

Nous allons maintenant raisonner sur les fonctions de service (FS).

Déterminez le coût de réalisation du besoin de l’utilisateur grâce au lien entre les fonctions techniques et les fonctions de service (FS).

À ce stade, trouver le gain potentiel sur chaque fonction de service (FS) devient simple.

  • Quels sont les principes à respecter ?
  • Sur quelles fonctions peut-on faire des gains ?
  • Quelles sont vos marges de manœuvre pour faire au mieux ?

L’utilisateur accorde une importance à chaque fonction (valeur d’estime), à vous :

  • de trouver la valeur et donc la dépense maximum de l’utilisateur pour chaque fonction appelée « coût objectif » ;
  • d’analyser les écarts entre les coûts constatés (devis ou prix réel en production) et les coûts objectifs représentatifs des utilisateurs que vous souhaitez viser.

C’est une partie de l’analyse de la valeur que vous abordez.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !


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