Jean-Michel LAMBOUR

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0932
    Montées en cadence : comparaison et choix du principe

    Vous envisagez une montée en cadence de plusieurs types de production, non équitablement répartis.

    Nous exposerons dans cette fiche pratique le cas vécu de la mise en peinture, sur une ligne unique, de plusieurs modèles de véhicules avec de nombreux types de peinture.

    Cette problématique n’est pas réservée au secteur de l’automobile, et les enseignements de cette fiche pourront être appliqués à d’autres industries.

    Cette fiche vous permettra de planifier efficacement votre montée en cadence grâce à un retour d’expérience industrielle.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1017
    L’échantillonnage pour l’archivage et l’utilisation en interne

    Vous désirez conserver un échantillon de votre production (ou lors de la mise au point) pour vous servir de référence ou d’étalon dans l’avenir, ou vous cherchez à analyser les causes d’une défaillance.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1018
    Produire, fournir et gérer l’échantillonnage à destination des prospects

    Vous êtes contacté par une société ou un particulier, ou, à l’inverse, vous voulez montrer à des clients potentiels ce que vous êtes en mesure de leur produire ou fournir.

    Dans certains cas vous désirez simplement, lors d’un salon ou forum, exposer un ou plusieurs exemples de vos productions.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0928
    Choisir des matériaux en fonction de leur performance électrique

    Vous devez concevoir et réaliser une pièce plastique devant répondre à des contraintes électriques et vous devez choisir le meilleur matériau.

    Les matériaux plastiques sont généralement classés dans la rubrique « matériaux isolants », dans lesquels figurent l’ensemble des matériaux qui présentent des résistivités supérieures à 106 Ω cm2/cm. C’est bien souvent pour cette propriété qu’ils sont choisis, en plus de leur facilité de mise en œuvre.

    Cette fiche vous aidera à répondre aux questions suivantes :

    • Quel type d’isolation voulez-vous atteindre ?
    • Quelles performances demandez-vous à votre pièce ?
    • Comment tester ces performances ?
  • Vous devez concevoir et réaliser une pièce plastique devant répondre à des contraintes mécaniques et/ou électriques. Vous devez prendre en compte toutes ces contraintes, les calculer et vérifier que vous n’en avez pas oublié.

    Cette fiche vous aidera à :

    • penser à tous les types de contraintes auxquels votre pièce sera soumise ;
    • calculer l’impact de ces contraintes sur le dimensionnement, le matériau et le choix du moulage des pièces.
  • Vous venez de lancer une production d’objet ou de produit. Cette filière industrielle doit se trouver pérennisée pour une période assez longue.

    Vous vous demandez, fort légitimement, si cette fabrication est réglée au maximum de sa capacité en termes de qualité (agrémentée d’un soupçon de coefficient rectificatif de robustesse) et de rentabilité économique.

    Vous courez donc trois risques essentiels :

    • Ne pas vous situer au meilleur niveau de qualité : c’est là une possibilité de vous faire doubler par un concurrent dans le domaine ; même si votre niveau de qualité est suffisant, une optimisation vous permettra de « faire la course en tête » ; autrement dit, vous évitera de voir une concurrence apparaître, tout au moins, sur le plan de la qualité.
    • Manquer de robustesse dans le procédé : c’est le risque d’avoir vos paramètres réglés à un niveau tel que vous ne puissiez absorber des fluctuations inhérentes à une application industrielle ; cela débouche souvent sur une qualité fluctuante et donc un double risque : se faire déplacer par un concurrent plus stable dans ses productions ou des rebuts ou déclassés importants.
    • Le risque peut aussi être financier, si vous n’avez pas su optimiser les coûts, mais peut devenir capacitaire, c'est-à-dire qu’à partir d’un certain ratio de produits rebutés, vos installations ne seront plus en mesure de produire suffisamment d’objets ou de produits acceptables par le client.
  • Vous avez changé de secteur d’activité et vous vous trouvez confronté à des problématiques différentes. Vous voulez comprendre, améliorer, quantifier les facteurs influents.

    Contrairement à des idées préconçues et subjectives, la plupart des phénomènes observables peuvent être comparés à des comportements « communs » que vous avez pu avoir déjà rencontrés, notamment dans vos précédentes missions de conception. Grâce à cette expérience pratique, il vous sera possible, de prime abord, de décrire un phénomène dont la dénomination strictement scientifique peut apparaitre hermétique aux non-spécialistes. En second lieu, on pourra, si besoin est, trouver l’équation mathématique type mettant en relation ce comportement avec les paramètres dont il dépend.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0825
    Choisir et mettre au point les méthodes d’essai avec le client

    Vous avez été consulté pour fournir un équipement devant répondre à une fonction bien précise ; mais il n’existe pas toujours de méthodes officielles et objectives d’évaluation pour toutes les performances.

    Le but de cette démarche est de vous mettre d’accord avec votre client sur le mode d’évaluation du résultat, car chaque projet doit pouvoir être sanctionné par une évaluation de la performance atteinte.

    Cela suppose qu’au préalable le niveau à atteindre soit clairement exprimé et si possible chiffré selon des procédures d’essai à appliquer, en cours de déroulement de projet ou à la réception (voire après un délai contractuellement accepté).

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0823
    Savoir apprécier la part d’innovation compatible avec un projet de conception

    En règle générale, un client vous demandera toujours de faire preuve d’un maximum d’innovation pour répondre à un projet. Mais est-ce bien par cette voie qu’il faut d’emblée tenter de répondre ? À cette innovation, nous reconnaîtrons certains avantages. Mais ces avantages peuvent être contrebalancés par des interrogations, voire des désavantages certains.

    • Elle peut vous placer en situation de monopole. Mais votre client acceptera-t-il de vous savoir « incontournable » ?
    • Il est préférable d’éviter que « l’innovation à tout va » ne débouche sur une partie de poker perdant. Il faudra donc savoir baliser de façon encore plus draconienne le projet pour éviter de dériver vers des investissements considérables et sans retour. Cette innovation a-t-elle des chances de déboucher sur une prise de brevet ? Votre client aura-t-il le droit (ou la possibilité) d’exploiter cette découverte sans vous ?
    • Cette innovation pourra-t-elle être exploitée chez un autre client ? Peut alors se poser le problème du financement du projet et du retour sur investissement.
    • L’innovation est-elle forcément moins robuste à exploiter que les voies traditionnelles ? C’est une question qu’il est bon de se poser tout au long du développement du projet. La question inverse, de savoir si une innovation peut se montrer plus robuste à exploiter qu’un procédé traditionnel, est-elle aussi légitime.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0824
    Concevoir un projet en France qui se concrétisera à l’étranger

    Vous êtes consulté par une entreprise française pour l’accompagner dans un projet à l’étranger.

    Bien que le projet soit étudié en France, la phase finale se déroulera à l’étranger. Il peut s’agir de la livraison et de la mise en place d’un équipement, un service à assurer auprès de votre client à l’étranger.

    Il vous faudra :

    • appréhender et respecter les délais ;
    • tenir compte des réglementations douanières ;
    • travailler dans la langue locale ;
    • connaître les possibilités d’approvisionnement local ;
    • connaître les réglementations en matière de main-d’œuvre et droit du travail locaux.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 0822
    Interpréter un cahier des charges et valoriser les études

    Vous recevez un cahier des charges détaillé dans lequel toute la demande de votre client semble être connue.

    Vous pensez légitimement que cela doit suffire à lancer une étude.

    Cependant, il est dans votre intérêt de prendre le temps de préciser si le demandeur et le fournisseur que vous êtes interprètent les termes de façon identique.

    Vous trouverez dans cette fiche des conseils pour :

    • relire attentivement le cahier des charges reçu ;
    • préciser si le demandeur et le fournisseur interprètent les termes de façon identique ;
    • vérifier si vous ne possédez pas déjà une partie des études nécessaires au lancement du projet.