Chargée de recherches CNRS - Docteur en chimie de l'université Pierre et Marie Curie (Paris) Institut Charles Gerhardt de Montpellier, UMR 5253, France
Les noyaux quadripolaires présentent des raies très élargies et des gammes d’excitations réduites. La RMN en phase solide permet toutefois de s’affranchir de ces difficultés expérimentales et de caractériser de tels noyaux. Exemple avec le cas du strontium-87