- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2024
|- Réf : AF6532
L’ampleur des phénomènes des feux de forêts et leur récurrence aussi bien en France, avec un record de feux pendant l’été 2022, que dans le monde avec les feux en Australie en 2019-2020 et en Californie (États-Unis) en 2021-2022, en font un sujet d’étude prioritaire. Les feux de biomasse contribuent à la dégradation de la qualité de l’air par l’émission de particules fines, la production d’ozone et d’aérosols secondaires et accélèrent le changement climatique par la production de gaz à effet de serre (GES). L’ensemble des espèces émises lors de la combustion sont très variées au sein du panache de fumée et constituent des sources de réactions chimiques durant le transport du panache dans la troposphère et la basse stratosphère.
- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 sept. 2024
|- Réf : CHV4000
Stimulée par une pression réglementaire de plus en plus contraignante, la problématique du remplacement des solvants (organiques) toxiques continue de connaître un développement soutenu. De nombreuses alternatives ont été proposées, mais une double réalité chimique et économique complexifie la situation. En effet, il convient de trouver un solvant de remplacement qui permet de retrouver les propriétés d’usage tout en limitant le coût de sa mise en œuvre. Après avoir rappelé quelques définitions et grandes tendances dans le domaine des solvants verts, cet article aborde quelques stratégies de substitution, avant de passer en revue les principales solutions de remplacement.
- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 août 2025
|- Réf : RE204
A cause du réchauffement climatique et en particulier de l’excès de dioxyde de carbone produit par les activités humaines, il devient urgent de trouver des solutions de remplacement des ressources fossiles pour la synthèse organique. Cet article traite de l’utilisation d’hydrocarbures biosourcés, les terpènes, comme source de carbone renouvelable. Il y est question du développement d’une réaction d’activation C–H et plus particulièrement d’un couplage croisé déshydrogénant entre un terpène et un alcène pauvre en électrons par catalyse au palladium. Une étude mécanistique et une application de cette transformation en catalyse micellaire est ensuite dévoilée.