- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 mai 2020
|- Réf : H1201
Les jeux d’instructions, qui sont l’interface entre le matériel et le logiciel, définissent les opérations que doit effectuer le matériel et sont la cible d’un compilateur. Les jeux d’instructions sont généralement propriétaires. Depuis 2010, un jeu d’instructions libre et gratuit, RISC-V, a été défini. Il est constitué d’un noyau RISC de base et d’un certain nombre d’extensions standardisées, permettant de viser l’ensemble des classes d’applications, de l’Internet des Objets au calcul haute performance en passant par le marché des mobiles, PC et serveurs. Une fondation RISC-V regroupe un grand nombre d’acteurs : fondeurs, développeurs matériels et logiciels.
- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 mai 2020
|- Réf : H1202
Les extensions SIMD sont présentes dans de nombreux jeux d’instructions. Alors qu’Intel a continué à étendre la taille des registres à 512 bits avec les instructions SIMD correspondantes, ARM a arrêté l’évolution de l’extension SIMD Neon et opté pour l’extension vectorielle SVE. Enfin RISC-V privilégie l’extension vectorielle. Les différences entre extensions SIMD et vectorielles sont présentées, ainsi que les dernières évolutions du SIMD Intel et les extensions vectorielles SVE et RISC-V.
- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 déc. 2020
|- Réf : S7218
Les principes de base des algorithmes évolutionnaires (AE), dont les plus connus sont les algorithmes génétiques (AG), sont directement inspirés de la théorie de l’évolution selon Darwin. Ces méthodes de résolution de problèmes, d’optimisation stochastique, copient de façon très simplifiée la capacité de populations d’organismes vivants à s’adapter à leur environnement à l’aide de mécanismes de sélection et d’héritage génétique. Cet article donne un panorama rapide du « darwinisme artificiel » et de la variété de ses applications.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 10 sept. 2012
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- Réf : 0874
Lorsque l’Institut pour la sûreté de fonctionnement est devenu l’Institut pour la maîtrise des risques (IMDR), il y a eu discussion pour savoir si l’on pouvait vraiment « maîtriser les risques », compte tenu de leur caractère souvent imprévisible.
Approche simple et pratique : on ne peut évidemment pas contrôler le futur de systèmes technico-humains, compte tenu du libre arbitre, de l’effet papillon et autres notions de ce type. Au mieux, on maîtrise un risque (négatif) comme on maîtrise un cheval ou un félin :
- nous avons la connaissance et les moyens nécessaires pour nous rendre compte à temps de tout comportement « anormal » : observation et symptôme sont les maîtres mots ;
- l’environnement dans lequel évolue le système dompteur-cavalier/animal est soit partiellement contrôlable, soit contraint (une cage, un manège, un respect de l’autorité, etc.).
En projet, l’emploi de « maîtrise » est adapté : in fine, les acteurs s’intéresseront davantage aux bénéfices attendus de la prise de risque qu’à la couverture nécessaire des dangers potentiels.
Cette fiche pratique sur le processus de management du risque le plus important pour un chef de projet rappelle les éléments essentiels à mettre en place ainsi que les exigences minimales vis-à-vis des acteurs du risque. Elle considère les risques menaces autant que les risques opportunités : pas de projet sans prise de risque.
Gestion et pilotage du projet : les fiches pour évaluer, planifier, communiquer, capitaliser
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 17 juil. 2017
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- Réf : 1619
Le brevet délivré confère à son titulaire un monopole d’exploitation que les tiers peuvent avoir intérêt à faire tomber ; même lorsque les offices de propriété industrielle pratiquent un examen renforcé des conditions de brevetabilité, le titre délivré n’est jamais à l’abri d’une invalidation par l’autorité judiciaire.
L’action en nullité peut être engagée, soit comme stratégie de défense dans le cadre d’une action en contrefaçon, soit à titre principal en dehors de toute action en contrefaçon, même si l’hypothèse est plus rare en pratique.
L’annulation du brevet présente la particularité d’avoir un effet dit « absolu », c’est pourquoi elle est la voie privilégiée pour faire tomber un brevet gênant.
À ce titre, cette fiche vise à :
- expliciter les conditions d’ouverture et les spécificités de la procédure d’annulation d’un brevet français ou européen, permettant de faire tomber un brevet gênant ;
- présenter les différentes causes d’invalidation d’un brevet français ou européen.
Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.