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1 - PROCÉDÉS

2 - SYMBOLISATION

3 - TYPES DE DÉPÔTS

4 - APPAREILLAGE

5 - GAMMES DE TRAITEMENT

6 - POST-TRAITEMENTS

7 - CARACTÉRISTIQUES DES DÉPÔTS

8 - APPLICATIONS

| Réf : M1565 v1

Types de dépôts
Nickelage chimique

Auteur(s) : Louis LACOURCELLE

Date de publication : 10 juil. 1995

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Auteur(s)

  • Louis LACOURCELLE : Ingénieur électrochimiste du Conservatoire National des Arts et Métiers Cabinet Galva-Conseils - Conseils. Études. Formation

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INTRODUCTION

Les dépôts électrolytiques, malgré leurs nombreux avantages, ont le grave inconvénient d’être tributaires de la répartition des lignes de courant.

Les dépôts chimiques, au contraire, ne sont pas soumis à cette contrainte et il est possible grâce à eux d’obtenir des revêtements homogènes en épaisseur, même sur des pièces de formes très compliquées. Plus besoin d’anodes, plus besoin de source extérieure de courant. Les électrons nécessaires à la réduction des ions métalliques sont fournis à l’électrode selon deux processus différents :

  • ionisation d’un métal : méthode dite par déplacement ou par contact ;

  • oxydation d’une forme réduite en solution : méthode dite par réduction chimique.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-m1565


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3. Types de dépôts

3.1 Classification

Il existe à l’heure actuelle deux grandes familles de dépôts [3]. Celles-ci se distinguent par le type de réducteur mis en œuvre :

  • si le réducteur employé est un sel d’hypophosphite, le dépôt obtenu sera à base de phosphore ;

  • si le réducteur est un composé dérivé du bore, le dépôt contiendra du bore.

D’autres recherches sont en cours visant principalement à créer des dépôts de nickel les plus purs possible présentant des caractéristiques particulières.

Enfin, une dernière catégorie regroupe l’ensemble des dépôts composites.

  • Nickel-phosphore

    Il existe deux grandes familles de bains offrant des dépôts plus ou moins riches en phosphore et pouvant être regroupés sous les dénominations suivantes :

    • Nickels classiques (type A)

      Cette catégorie rassemble les dépôts ayant une concentration de phosphore comprise, en général, entre 6 et 9 % en masse et utilisés pour les propriétés les plus classiques. Ils présentent une résistance à la corrosion de moyenne à bonne, une bonne résistance à l’usure et à l’abrasion.

    • Nickels techniques (type B)

      Par opposition à la catégorie précédente, ces dépôts présentent une concentration de 9 à 13 % en phosphore. De tels dépôts, donc plus riches en phosphore, sont le plus souvent utilisés pour leurs propriétés remarquables de tenue en corrosion, leurs bonnes résistances à l’usure et à l’abrasion. La densité diminue, ainsi que la susceptibilité magnétique. Ces résultats peuvent encore être améliorés par la mise en œuvre de post-traitements. D’autres catégories de nickels à fort pourcentage de phosphore sont du type ternaire, le troisième élément étant par exemple du cuivre.

      Remarque : des dépôts obtenus avec des teneurs en phosphore relativement faibles, inférieures à 6 %, peuvent être rangés dans cette catégorie des dépôts techniques. Ils présentent en effet en sortie de bain des duretés très élevées, pouvant atteindre 750 HK100 (dureté Knoop sous charge de 100 gf),...

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