1. Principales classes de cuivre et de ses alliages industriels
1.1 Cuivres purs avec et sans oxydules
1.2 Cuivres faiblement alliés
1.3 Alliages monophasés α
1.4 Alliages à durcissement par précipitation
1.5 Laitons biphasés α + β. Laitons au plomb
1.6 Cupro-aluminiums complexes
1.7 Alliages cuivreux moulés
2. Comparaison des principales propriétés d’usage des alliages de cuivre
2.1 Propriétés élastiques et électriques associées
2.2 Conductivités électrique et thermique
2.3 Corrosion aqueuse du cuivre et de ses alliages
2.4 Oxydation sèche
2.5 Tenue mécanique aux hautes, moyennes et basses températures
2.6 Alliages à propriétés électriques et magnétiques spéciales
2.7 Propriétés de mise en œuvre du cuivre et de ses alliages
2.8 Usinabilité. Résistance à l’usure
2.9 Aptitude au soudage et au brasage du cuivre et de ses alliages
2.10 Placage du cuivre et de ses alliages
3. Phénomènes métallurgiques particuliers
3.1 Superplasticité des alliages cuivreux biphasés
3.2 Pseudo-élasticité d’alliages cuivreux à 100 % de phase β
3.3 Effet mémoire de forme d’alliages Cu-Zn-Al à 100 % de phase β
3.4 Déformation orientée de l’alliage Cu-Be lors du revenu
3.5 Dissolution mécanique des précipités fins dans les alliages cuivreux
3.6 Rétention d’écrouissage, à l’aide de dispersions de seconde phase
3.7 Décomposition spinodale dans les alliages Cu-Ni-X
3.8 Traitements thermiques à tiède des alliages monophasés α écrouis
Pour en savoir plus
La panoplie des alliages cuivreux est extrêmement riche par la variété et la combinaison des additions employées et, aussi, par leurs proportions souvent élevées (50 % au maximum toutefois). Avant la guerre 1939-1945, au moins 300 alliages différents étaient couramment fabriqués, sans compter bien d’autres compositions qui n’ont guère dépassé un stade expérimental. Depuis, on assiste à un effort continu de rationalisation, technique et économique, avec une polarisation vers les alliages présentant une combinaison de propriétés les rendant particulièrement performants pour une ou plusieurs applications majeures, avec l’abandon de ceux d’un intérêt marginal.
La conductivité relative C est le pourcentage de conductivité du matériau considéré par rapport à un cuivre de référence de résistivité ρ20 égale à 1,724 1 × 10–8 Ω cm (ou de conductivité 58,0 MS/m). Cette grandeur particulière aux cuivreux s’exprime en % IACS :