Références
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Auteur(s)
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Pierre MONGIN : Conférencier, consultant et auteur en mind mapping
-
Laurent DELHALLE : Enseignant à Sciences Po Lyon et à l’École de Guerre Économique
Lire cet article issu d'une ressource documentaire complète, actualisée et validée par des comités scientifiques.
Lire l’articleINTRODUCTION
Le risque cyber peut émaner d’une erreur humaine (téléchargement non intentionnel d’un logiciel malveillant par exemple) ou d’un accident. Se protéger du risque cyber n’est plus un choix, mais une obligation pour les acteurs économiques d’aujourd’hui. C’est un enjeu fondamental.
Quelle que soit leur taille, les entreprises doivent préserver leur savoir-faire, leurs compétences et surtout leurs données dites personnelles (DCP) et sensibles (DCS) face notamment à des attaques malveillantes aux conséquences potentiellement dévastatrices. En sus des erreurs humaines, ce peut être aussi une action malveillante volontaire comme l’attaque d’un hacker via un logiciel installant un virus (malware), une tentative de vol d’informations confidentielles en se faisant passer pour une autorité (phishing), l’interception de communications (écouter, surveiller, visualiser, lire ou enregistrer, par tout moyen, lors de son passage sur un réseau de télécommunications à l’insu de la personne qui effectue ou reçoit la communication), l’exploitation de failles dans des logiciels, sans oublier les rançongiciels.
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Notre conseil4. Intégrer de manière sûre l’intelligence artificielle
Si l’intelligence artificielle améliore le fonctionnement global des processus de transmission des informations, elle accroît aussi singulièrement les risques cyber. Une enquête Deloitte signale que 72 % des agents utilisent des outils d’IA non approuvés, ce qui augmente d’autant les risques cyber. Les infox, les « hallucinations », proposées par les résultats fournis par les différents nouveaux logiciels font courir des risques de désinformation qui peuvent faire baisser la confiance envers les plateformes et tous les acteurs de la chaîne de traitement des données.
Pour renforcer la confiance, il faut intégrer l’IA dans la réflexion stratégique avec des comités chargés d’étudier les enjeux réglementaires et éthiques qui arrivent et déployer des formations autour de ces enjeux.
Utilisez le Gboard (Clavier Google), qui est un clavier virtuel gratuit, intégré par défaut à Android, mais également disponible sur iOS et développé par Google. Il sert de « bac à sable » pour entraîner des algorithmes localement sans transférer de données sensibles.
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Intégrer de manière sûre l’intelligence artificielle
ANNEXES
SERRES Michel.- Petite Poucette. Le Pommier (2012).
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Une ordonnance concerne l’ensemble des échanges électroniques, téléservices ou courriels échangés avec les administrations, qu’il s’agisse des administrations de l’État, des collectivités territoriales, de leurs établissements publics administratifs, des organismes de sécurité sociale ou d’autres organismes de droit privé gérant des services publics administratifs.
Les cyberattaques, avec un risque extrême comme la corruption des données ou l’impossibilité d’accéder au système (Distributed Denial of Service – DDoS) sont susceptibles de contraindre l’infrastructure à arrêter toute activité, l’empêchant de remplir son rôle crucial vis-à-vis de ses participants.
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