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Effet photoelectrique

Effet photoelectrique dans l'actualité

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Effet photoelectrique dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 avr. 1998
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  • Réf : AF3530

Interaction particules-matière

Cet article a pour objet de faire le point sur les interactions particules-matière afin de permettre au lecteur d’aborder, par la suite, l’étude des différentes techniques de détection de rayonnements d’énergie supérieure à une dizaine de keV, tels ceux rencontrés en physique nucléaire ou en physique des particules . On a, dans ce cas, affaire la plupart du temps à des rayonnements ionisants qui vont transmettre leur énergie aux électrons du milieu ralentisseur : on parlera de pouvoir d’arrêt (perte d’énergie par unité de longueur du milieu traversé) électronique . À plus basse énergie, domaine non abordé par la suite, le ralentissement des particules se fait par collisions élastiques avec les atomes du milieu : on parlera de pouvoir d’arrêt nucléaire (cf. figure). On est amené à distinguer ici différentes classes d’interaction, suivant que l’on considère des rayonnements chargés ou neutres, des particules lourdes ou légères. Dans le cas de particules chargées , la perte d’énergie s’opère par transferts discrets d’énergie aux électrons du milieu ( ionisation ) et, pour des particules légères (essentiellement électrons), par émission d’un rayonnement de freinage (bremsstralung) lors de l’accélération subie au voisinage d’un noyau. Dans le cas de rayonnements neutres (gamma, neutrons...), il y a d’abord transfert de tout ou partie de l’énergie à une particule chargée du milieu (électrons, noyaux), puis détection de la particule chargée. Les processus évoqués ci-dessus sont des processus discrets de transfert d’énergie. Il existe des processus macroscopiques d’interaction d’une particule chargée dans un milieu donné. Dans ce cas, la perte d’énergie de la particule est négligeable, mais un signal est émis par le milieu indiquant le passage de la particule. Il s’agit de l’ effet Cherenkov , pour des particules chargées relativistes, et des radiations de transition au passage d’une particule chargée entre deux milieux de propriétés diélectriques différentes.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 juil. 2013
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  • Réf : AF6240

De l'effet photovoltaïque aux cellules photoélectriques

, surtout avec de faibles épaisseurs utiles de jonction pn. À l'autre bout du processus de conversion photophoto-électrique...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 déc. 2000
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  • Réf : R6450

Détecteurs de rayonnements optiques

, optique ou mécanique (tableau  2 ). Dans ces détecteurs photoélectriques , ce terme étant pris... ( V d ) + I ( F ) Notons dès à présent que, dans les détecteurs photoélectriques, ce courant d’obscurité est prohibitif... F est le courant indépendant de v fourni sous l’effet de l’excitation d F par un générateur photoélectrique... , le détecteur est souvent la principale cause de bruit (détecteurs thermiques, détecteurs photoélectriques...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 08 déc. 2022
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  • Réf : 1791

Assurer le relamping d’un bâtiment industriel

Le temps de présence annuel des personnes est de 1 650 heures dans les bureaux ; une part significative de ce temps nécessite l’usage de luminaires. Par ailleurs, la durée de l’éclairage des parties communes est comprise entre 1 600 et 1 700 heures. Les espaces de bureaux seuls comprennent en France 53 500 luminaires (115 500 lampes et 85 500 ballasts) pour un ensemble de 82 400 luminaires (170 000 lampes et 122 500 ballasts) tous usages confondus, soit une densité de 0,2 luminaire par m². Seuls 6 % de cet ensemble de luminaires ont été rénovés.

Le flux énergétique moyen dans les locaux de bureaux est évalué à 15,7 W/m2, alors qu’avec les technologies récentes, le flux accessible, avec un même confort visuel, est de 7 W/m2.

Il est donc impératif de réduire ces consommations énergétiques associées à l’éclairage. Cette fiche vous aidera à maintenir voire à améliorer les niveaux de confort visuel requis tels que définis par la norme AFNOR NF X35-103 « Principes d’ergonomie applicables à l’éclairage des lieux de travail » et de mettre en place des technologies de lampes moins consommatrices en énergie.

Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.


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