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Énergie : définition et propriétés

Propriété d’un système physique capable de fournir du travail (mettre une masse en mouvement...), de la chaleur (faire bouillir de l’eau...) (mesurée de manière conventionnelle en joules). La quantité d’énergie est le produit de l’intensité de ce travail (la puissance, en watts) par le temps durant lequel cette puissance est fournie (1 W = 1 J/s).

Énergie dans les livres blancs


Énergie dans les conférences en ligne


Énergie dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2022
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  • Réf : BE7005

Transition énergétique

La fourniture d’énergie primaire reste majoritairement assurée par les combustibles fossiles. Outre le fait que ces ressources ne sont disponibles qu’en quantités finies, le monde est confronté au défi majeur du réchauffement climatique, dû aux émissions de gaz à effet de serre et en particulier de dioxyde de carbone émis par combustion. Il en résulte la nécessité d’assurer dès que possible une transition énergétique vers des énergies bas carbone, ce qui implique une transformation complète du système énergétique. L’article présente les principales technologies qu’il est nécessaire de déployer.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2023
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  • Réf : D3351

Accumulateurs

Un accumulateur est un convertisseur bidirectionnel d’énergie chimique en énergie électrique, absolument indispensable à notre société, du plus petit produit sans fil au plus gros système de stockage raccordé au réseau. Le fait qu’il puisse spontanément délivrer un courant, dès lors que l’on relie ses bornes, s’explique au moyen de considérations théoriques issues de nombreux champs de la physique (thermodynamique, chimie, électricité). Cet article explique successivement le fonctionnement de l’électrolyte seul, puis de l’électrode plongée dans l’électrolyte et, pour finir, de l’accumulateur complet.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 juin 2022
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  • Réf : N3806

Nano-mousses métalliques

Les nano-mousses métalliques sont des structures bi-continues constituées de ligaments métalliques de dimensions nanométriques et de l’ordre de 50% de porosité. De cette architecture découlent des propriétés plasmoniques, mécaniques et chimiques spécifiques. Elles peuvent être exploitées pour des applications : actionneur mécanique ; capteur ; formation d’interconnexions pour la microélectronique ; catalyse et électrocatalyse ; composants de batterie et de supercondensateur. Ces perspectives concernent les domaines de la santé, de l’énergie et de l’environnement.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1780

Améliorer l’efficacité énergétique de l’enveloppe d’un bâtiment industriel

Le secteur des bâtiments d’une façon générale et celui des bâtiments industriels en particulier sont concernés par la réduction des gaz à effet de serre en France pour atteindre la neutralité carbone en 2050, comme mentionné dans la loi énergie climat du 8 novembre 2019. L’amélioration de l’efficacité énergétique de l’enveloppe d’un bâtiment fait partie des solutions à envisager pour répondre à cette problématique.

Anticipez ce processus avant qu’une loi ou un décret ne vienne imposer une date d’exécution.

En tant que chef d’entreprise ou responsable énergie/environnement de votre société, cette fiche pratique va vous aider à engager le dialogue avec les experts d’audits énergétiques censés vous orienter vers les meilleures opportunités. Cet article fait le point sur :

  • l’état des lieux de l’enveloppe d’un bâtiment ;
  • la liste des travaux à réaliser pour un gain d’efficacité ;
  • la surveillance de la consommation énergétique à mettre en place ;
  • le renouvellement des sources d’énergie si nécessaire ;
  • les aides pour la mise en œuvre du projet d’amélioration.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1814

Se raccorder à un réseau de chauffage ou de froid urbain

Utilisé pour chauffer de grands bâtiments en copropriété ou tertiaires, un réseau de chaleur et de froid est un réseau de distribution de l’énergie, produite de façon centralisée, à plusieurs usagers pour le chauffage des bâtiments. Les sources d’alimentation en énergies de ces réseaux peuvent être renouvelables et de récupération (EnR&R) et permettent de diminuer les émissions de gaz à effet de serre, de façon locale et intégrée à un territoire. Les réseaux permettent de centraliser la production de chaleur ou de froid et de limiter les risques de sécurité qui lui sont liés, ainsi que de réduire les impacts environnementaux.

En France, on compte plus de 500 réseaux de chaleur desservant environ 6 % de la production nationale de chaleur, soit 2 millions de personnes (hôpitaux, lotissements, grands bâtiments en copropriété ou tertiaires…) sur l’ensemble du territoire (réseaux ruraux et urbains).

Chaque réseau est constitué d’un circuit de distribution primaire (public) qui transporte la chaleur depuis l’unité de production jusqu’aux sous-stations d’échanges. Ces dernières assurent l’alimentation en chauffage des bâtiments par un réseau de distribution secondaire (privé : circuits de chauffage et eau chaude).

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1815

Appliquer le décret BACS aux bâtiments tertiaires et industriels

La mise en place du décret BACS (Building Automation & Control Systems) vise à accompagner le décret tertiaire. Ce dernier a pour objectif une réduction drastique des consommations d’énergie à échéance 2030. Le décret BACS impose de mettre en place un système d’automatisation et de contrôle des bâtiments, d’ici au 1er janvier 2025 ; il concerne tous les bâtiments tertiaires non résidentiels pour lesquels le système de chauffage ou de climatisation, combiné ou non à un système de ventilation, a une puissance nominale supérieure à 290 kW. Pour les installations d’une puissance nominale supérieure à 70 kW, cette exigence devra être respectée d’ici au 1er janvier 2027.

Pour cela, le décret BACS impose pour les bâtiments tertiaires de :

  • suivre, enregistrer et analyser les données de consommation énergétique ;
  • ajuster en temps réel la consommation des systèmes techniques en fonction des besoins ;
  • détecter et alerter les responsables d’exploitation des potentielles dérives de consommation, en amont des défauts de fonctionnement, afin d’éviter une surconsommation et des coûts de maintenance supplémentaires.

Le décret BACS concerne tous les propriétaires des systèmes techniques présents dans un bâtiment tertiaire non résidentiel, neuf ou existant, si les équipements ont une puissance nominale supérieure à 290 kW (2025) ou 70 kW (2027). Ces systèmes comprennent tout équipement technique : chauffage, refroidissement, ventilation, production d’eau chaude sanitaire, éclairage, production d’électricité sur le site considéré, automatisation et contrôle des bâtiments.


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