- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2025
|- Réf : BM3000
Les systèmes de propulsion aérospatiaux (des avions, fusées, missiles, sondes, satellites...) sont généralement de deux types : les réacteurs et les propulseurs à hélice. Les réacteurs fonctionnent grâce à l'expulsion à grande vitesse du produit de la combustion d'ergol, tandis que les autres utilisent le brassage d'un débit important de l'air ambiant (au moyen d'hélices, par exemple). Cet article présente différentes catégories de propulseurs et définit les principales grandeurs utilisées dans le domaine de la propulsion, par exemple l'impulsion spécifique ou l'indice constructif. Les grandes tendances industrielles sont également évoquées.
- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 2025
|- Réf : BM3001
Plusieurs types de propulsion spatiale existent, selon la façon dont la masse propulsive est accélérée. Quel que soit la méthode retenue, la conception du système de propulsion fait appel à de nombreux principes et théories mécaniques. La connaissance et la maîtrise des outils mathématiques et physiques sont nécessaires pour le dimensionnement et la réalisation du dispositif. Cet article permet de rappeler les notions essentielles du vol (régimes, atmosphère standard...), les formules d'aérodynamique et de thermodynamique utilisées en propulsion, au stade d'avant-projet, ainsi que les différents niveaux de modélisation de l'air et de la combustion.
- Article de bases documentaires
|- 10 déc. 2025
|- Réf : J8020
Cet article aborde la chaîne de valeur du captage, de l’utilisation et du stockage du carbone - CCUS - de façon globale. Celle-ci est l’un des leviers essentiels pour atteindre la neutralité carbone et lutter contre le dérèglement climatique. L’article présente les technologies CCUS déployées à l’échelle commerciale et propose une étude technico-économique comparative de chacun des maillons et de leur impact sur la chaîne globale. En revenant au niveau moléculaire, il explore les limites de la connaissance sur le captage postcombustion du CO 2 à l’aide d’absorbants liquides de type amine, la voie la plus déployée mais qui comporte encore des questions thermodynamiques et cinétiques ouvertes.