Albert KOZLOWSKI

Ancien président de la Commission BNS « aciers pour contact alimentaire » - Bureau de normalisation de la siderurgie BNS - Ingénieur conseil FFA (Fédération française de l'acier)

  • Article de bases documentaires : M4492
    Alimentarité des matériaux - Critères de choix

    Acier, aluminium, fonte, ces matériaux, revêtus ou non, rentrent très souvent en contact avec nos denrées alimentaires. Les choisir en conformité avec le cadre normatif et réglementaire impose la prise en compte des restrictions d’emplois, limites des teneurs d’éléments indésirables, critères d’aptitude.

  • La réglementation définissant l’alimentarité des matériaux est basée sur le principe d’inertie du matériau et sur les méthodes mises en œuvre pour son contrôle. Elle présente les critères d’aptitude que doivent posséder les matériaux entrant en contact avec les aliments. Dans cet article, sont d’abord détaillées les informations réglementaires européennes, puis plus particulièrement françaises. Les textes applicables et les exigences pour tous les types de matériau (bois, métaux, céramiques, caoutchoucs…) sont ensuite listés en termes, entre autres, de teneur en éléments indésirables et de migration spécifique ou globale. Pour finir, sont passés en revue les règlements plus restrictifs propres à certains pays comme l’Allemagne, la Suède ou la Finlande.

  • Article de bases documentaires : M4490
    Alimentarité des matériaux - Réglementation

    Les producteurs de matériaux destinés à rentrer en contact avec des denrées alimentaires sont tenus de fabriquer un produit apte à l’emploi et d’assurer la sécurité sanitaire du consommateur. Pour ce faire, les fournisseurs et utilisateurs de la filière alimentaire sont censés appliquer les textes réglementaires français et européens. En effet, la réglementation définit le principe d’inertie du matériau et son contrôle, ainsi que le respect du choix des matières premières. En conséquence, en découle l’interdiction de mettre sur le marché des matériaux non conformes, ou des denrées rentrées en contact avec des matériaux non conformes. Pour autant, la situation normative et réglementaire actuelle française encore fragmentaire et l’européenne non encore aboutie rendent souvent complexe le choix de ces matériaux.

  • Article de bases documentaires : M3175
    Aciers et alliages réfractaires - Fabrication

    Cet article détaille les quatre étapes principales de la fabrication des aciers et alliages réfractaires : l’élaboration (avec phase de fusion dans un four à arc, suivie d’une opération d’affinage), la coulée sous forme de lingots, la transformation à chaud et la transformation à froid. S’ensuivent le parachèvement de surface et les traitements thermiques adaptés à chacune des familles d’acier ou d’alliage, puis les procédés de moulage. Le choix d’un acier ou d’un alliage réfractaire doit s’effectuer sur quelques paramètres principaux. Par exemple, la résistance à la corrosion est liée à l’oxydation du chrome et d’éléments mineurs comme le silicium ou l’aluminium ; l’addition d’éléments à oxydes très stables permet d’améliorer la résistance dans des atmosphères réductrices ; une structure austénitique garantit une bonne tenue au fluage.

  • Cet article liste des données de référence pouvant être utiles dans la spécification des conditions techniques de livraison des produits en aciers inoxydables. Sont ainsi retenues certaines propriétés physiques des aciers inoxydables, à travers des essais de corrosion normalisés, des tableaux présentent la correspondance entre nuances d'acier inoxydables et les normes européennes et de matériaux, et également versus les normes américaines et japonaises.

  • Cet article a pour objectif la spécification des données numériques recensées sur les aciers inoxydables. Il présente les tableaux de caractéristiques relatives aux produits longs et produits plats, transformés à chaud ou à froid, dans des nuances standardisées ou des nuances spéciales d'aciers inoxydables résistant à la corrosion (aciers martensitiques, ferritiques, austénitiques, austéno-ferritiques). Parmi elles, sont listées les valeurs minimales de limite d’élasticité, les résistances à la traction, mais aussi les compositions chimiques des aciers et les directives concernant les températures pour le formage à chaud et le traitement thermique.

  • Dans le cadre de la libre circulation des produits, la normalisation constitue un élément fondamental pour les échanges européens. Elle est essentielle au niveau de la définition du produit mais aussi des méthodes d'évaluation des critères de qualité permettant cette définition (méthodes d'essai-prélèvement des échantillons, documents de contrôle...). Le domaine de la normalisation des aciers n’échappe bien sûr pas à cette règle. Un organisme européen a été créé, l'ECISS (European Committee for Iron and Steel Sandardization). Sur le plan international, l'ISO (International Organization for Standardization) a pour tâche de couvrir tous les aspects de la normalisation, le comité technique TC 17 ayant en charge celle des aciers. La France, quant à elle, dispose de l’organisme de normalisation, l'AFNOR.

  • Article de bases documentaires : M4570
    Aciers et alliages réfractaires - Données numériques

    Le marché européen des aciers répond aux mêmes contraintes que les autres marchés, la normalisation y est fondamentale. Qu’il s’agisse de l’AFNOR (Association française de normalisation), de l’ECISS (European Committee for Iron and Steel Standardization) ou de l’ISO (International Standardization Organization), ces organismes œuvrent à cette mise en place de normes permettant la définition des produits (notamment leur classification en aciers, aciers spéciaux alliés, aciers et alliages réfractaires), mais aussi l’évaluation de leurs critères de qualité.

  • Cet article présente les définitions, classifications et données numériques portant, d’une part sur les nuances d’aciers et d’alliages non ferreux utilisées pour la fabrication des soupapes des moteurs alternatifs à combustion interne et, d’autre part, sur les nuances d’aciers et d’alliages à base de nickel et de cobalt. Ces pièces sont utilisées pour la fabrication de pièces et de matériels dont l’exigence principale porte sur leur résistance au fluage lorsqu’elles sont soumises à des contraintes de longue durée et à des températures élevées.

  • La normalisation constitue un élément fondamental pour les échanges européens et internationaux, dans le cadre de la libre circulation des produits, et les aciers n’échappent pas à cette nécessité. Les normes permettent de définir le produit en lui-même, mais aussi les méthodes d’évaluation de ses critères de qualité. La France dispose d’un organisme central, l’AFNOR (Association française de normalisation), l’ECISS (European Committee for Iron and Steel Standardization) a été créé spécifiquement au niveau de l’Europe. Sur le plan international, l’ISO (International Standardization Organization) est en charge de tous les aspects de la normalisation. Cet article décrit la classification des aciers, leurs règles de désignation, ainsi que les données numériques normalisées.

  • Ce dossier traite des données numériques relatives aux diverses nuances d’aciers utilisées dans les parties métalliques des constructions et assemblages. Il est impossible de citer tous les aciers employés pour toutes les utilisations possibles. Ont été retenues préférentiellement celles utilisées couramment dans la construction, et celles destinées à la fabrication d’éléments de construction soudés ou assemblés par rivets ou boulons. Les aciers pour formage à froid, emboutissage ou pliage sont quant à eux des produits plats (tôles et bandes laminées à froid ou à chaud).

  • Article de bases documentaires : N650
    Matériaux au contact des aliments - Choix

    Les producteurs de matériaux et d’objets destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires sont tenus d’appliquer les textes réglementaires français et européens, pour assurer la sécurité du consommateur. Cette réglementation impose le principe d’inertie du matériau ainsi que son contrôle (composition, critères de pureté). Après le rappel et la définition des principaux types de matériaux utilisés (parmi eux, le verre, la céramique, l’aluminium, le fer noir…), cet article présente des exemples de choix et d’application des matériaux destinés à entrer au contact des denrées alimentaires.

  • Les fabricants de matériaux et d’objets destinés à être mis en contact des denrées alimentaires sont tenus de respecter le décret no 92-631 du 8 juillet 1992 qui transpose en droit national la directive cadre 89/109/CEE. Ces matériaux ne doivent présenter aucun danger pour la santé humaine ou animale, ni entraîner de modification de la composition des denrées alimentaires ou altérer leurs caractères organoleptiques. Cet article offre un tour d’horizon complet de la situation normative et réglementaire actuelle sur le sujet.

  • Article de bases documentaires : F1305
    Contact alimentaire Principaux matériaux autorisés

    Tout matériau ou objet destiné en entrer en contact avec des denrées alimentaires doit assurer la sécurité du consommateur. Afin de garantir l’aptitude de leurs produits, les producteurs de matériaux se réfèrent aux textes réglementaires français et européens, à l’appui une liste positive correspondant au type de matériau. Cet article liste les principaux matériaux destinés au contact alimentaire, ainsi que les exemples d’application.

  • Article de bases documentaires : M4492
    Alimentarité des matériaux - Critères de choix