Yves MORTUREUX

Vice-président à l'Institut de mâitrise des risques (IMdR), Gentilly, France

  • Article de bases documentaires : SE4040 (relu et validé)

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    AMDE (C)

    Démarche logique et de bon sens, l’AMEDC est une méthode d’analyse des modes de défaillance, de leurs effets avec ou sans celle de leur criticité. Bénéficiez du retour d’expérience et de recommandations de spécialistes ayant pratiqué cette méthode dans des contextes différents.

  • Article de bases documentaires : SE4050 (relu et validé)

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    Arbres de défaillance, des causes et d’événement

    Ces trois outils usuels de la sûreté de fonctionnement permettent de produire des représentations de la logique d’un système sous des formes arborescentes. Pour autant, arbre de défaillances, arbre des causes et arbre d’événement répondent à des besoins différents, et les arborescences produites ne contiennent pas les mêmes informations.

  • Article de bases documentaires : SE4010 (relu et validé)

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    Analyse préliminaire de risques

    L’analyse préliminaire de risques est une méthode dont l’objectif est l’évaluation des problèmes à résoudre en matière de maîtrise des risques. Cette démarche conduit à anticiper la nature des faiblesses du système en sûreté de fonctionnement ainsi que ses limites de performances.

  • Article de bases documentaires : SE3010
    Facteurs organisationnels de la sécurité

    Les machines, systèmes et autres composants technologiques ne suffisent pas à assurer la sécurité. Parce que des erreurs, des pannes ou des défaillances peuvent survenir, les protocoles de sécurité doivent intégrer une dimension managériale.

  • Un système de gestion de la sécurité (SGS) est l'ensemble des mesures organisationnelles prises explicitement par une organisation pour assurer la sécurité d’une activité (transport, énergie, chimie…). Ce SGS se présente sous la forme d’un document écrit, de préférence spécifique à chaque entreprise.

  • L’exploitation du retour d’expérience fait maintenant partie intégrante de la démarche de gestion des risques, et ceci dans toutes activités et secteurs. La contribution humaine dans la constitution de ces connaissances est fondamentale, imposant l’utilisation d’éléments et de notions en provenance des sciences humaines, sociales et économiques. Cet article présente tout d’abord les principes, buts et moyens régissant la démarche de retour d’expérience au sein d’un système sociotechnique. Sont ensuite décrits trois exemples d’outils choisis pour illustrer cette dimension humaine et sociale inhérente à la démarche de retour d’expérience.

  • La sûreté de fonctionnement, déclinée maintenant dans tous les secteurs, englobe un grand nombre de méthodes et de concepts au service de la maîtrise des risques. Elle désigne à la fois un ensemble de moyens et un ensemble de résultats produits par ces moyens.  Cette approche doit avant tout être guidée par une forme d’esprit particulière portée aux systèmes. Après avoir caractérisé la sûreté de fonctionnement, cet article expose les notions, les démarches et les méthodes fondamentales qui la définissent et la constituent.

  • Article de bases documentaires : SE1040
    Le retour d’expérience en questions

    Le retour d'expérience est une démarche simple et de bon sens. Cela existe depuis des années, même si l'expression est assez récente. Cette article décrit les principaux fondements de cette démarche et comment la mettre en œuvre de façon efficace. En effet, mal appliqué, ce principe du retour d'expérience peut aboutir à un remplissage inutile et fastidieux de bases de données. 

  • Article de bases documentaires : AG4608
    Le retour d’expérience en questions

    Le retour d'expérience est une démarche organisée consistant à apprendre de ce qui se passe et s'est passé pour mieux maîtriser l'avenir. Cet article décrit les principes de cette méthode, en apparence simple et de bon sens. En réalité, il importe de construire sa démarche pour ne pas se retrouver à collecter des montagnes de données que l'on ne saura pas exploiter ensuite et dont on ne tirera donc aucune amélioration du process.