Léon NOUINDE

Ingénieur en construction mécanique option énergétique, Directeur qualité à l’ENSIATE (Enseignement supérieur d’ingénierie appliquée à la thermique, l’énergie et l’environnement)

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1829
    Concevoir un bâtiment passif labellisé

    Le secteur du bâtiment (résidentiel, tertiaire ou industriel), qui est l’un des grands consommateurs d’énergie thermique, doit s’engager dans la voie de la sobriété énergétique pour permettre à la France de diminuer de 30 % sa consommation d’énergie fossile d’ici à 2030.

    Dans le secteur du bâtiment, il existe au moins deux pistes (BEPOS, bâtiment à énergie positive et BEPAS, bâtiment à énergie passive) que nous allons aborder dans cette étude.

    Celle-ci s’attache à prouver que les bâtiments à énergie passive et/ou bâtiments à énergie positive s’imposent comme les standards de demain pour gagner ce pari. Pour le démontrer, cette fiche pratique a été structurée autour des points suivants :

    • label BEPOS ou bien label BEPAS ?
    • quels sont les principes d’une construction passive ?
    • comment réhabiliter l’existant ?
    • faut-il chauffer un bâtiment passif et avec quelle énergie ?

    Enfin, l’étude se conclut par un focus sur les aides et les préjugés qu’il faut surmonter pour prendre part à la réduction de la consommation de l’énergie fossile.

  • Le secteur des bâtiments d’une façon générale et celui des bâtiments industriels en particulier sont concernés par la réduction des gaz à effet de serre en France pour atteindre la neutralité carbone en 2050, comme mentionné dans la loi énergie climat du 8 novembre 2019. L’amélioration de l’efficacité énergétique de l’enveloppe d’un bâtiment fait partie des solutions à envisager pour répondre à cette problématique.

    Anticipez ce processus avant qu’une loi ou un décret ne vienne imposer une date d’exécution.

    En tant que chef d’entreprise ou responsable énergie/environnement de votre société, cette fiche pratique va vous aider à engager le dialogue avec les experts d’audits énergétiques censés vous orienter vers les meilleures opportunités. Cet article fait le point sur :

    • l’état des lieux de l’enveloppe d’un bâtiment ;
    • la liste des travaux à réaliser pour un gain d’efficacité ;
    • la surveillance de la consommation énergétique à mettre en place ;
    • le renouvellement des sources d’énergie si nécessaire ;
    • les aides pour la mise en œuvre du projet d’amélioration.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1792
    Assurer une meilleure isolation du bâtiment industriel

    Les économies d’énergie sont devenues une priorité absolue sur le plan individuel et collectif, car les risques de pénurie d’énergie et les fluctuations des coûts n’épargneront personne.

    Vous êtes responsable du site industriel d’une entreprise et vous venez de prendre la décision de rénover l’ensemble des bâtiments situés sur ce site. Cette décision courageuse a un coût, mais elle présente de multiples avantages qui vont au-delà du gain financier et de l’attitude écoresponsable de votre entreprise.

    Cette fiche pratique va vous permettre de mener les actions suivantes :

    • dresser l’état des lieux du site (diagnostic thermique) ;
    • hiérarchiser l’ensemble des travaux prioritaires ;
    • rechercher les aides pour financer ces travaux ;
    • réaliser et faire valider les travaux par un organisme indépendant ;
    • enfin, établir le bilan des gains et des avantages prévisibles.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1773
    Mener un audit énergétique sur un site industriel

    L’audit énergétique formule un ensemble de préconisations qui découlent des problématiques identifiées grâce aux mesures effectuées sur votre site. Il est à renouveler tous les quatre ans dans le but d’évaluer l’évolution de la consommation en énergie de votre société et de vous inciter à entreprendre des actions d’amélioration de votre performance énergétique.

    Les avantages qui découlent de cette pratique sont les suivants :

    • l’identification des postes les plus énergivores dans la société ;
    • la modification des usages et des pratiques au sein de l’entreprise ;
    • une économie d’énergie substantielle ;
    • l’amélioration de l’efficacité énergétique ;
    • la réduction de l’émission des gaz à effet de serre ;
    • la fierté de figurer parmi les entreprises citoyennes.

    Cette fiche pratique va vous permettre de mener chronologiquement les actions suivantes :

    • recueil des données sur les bâtiments et les installations de votre site ;
    • visite du périmètre physique à évaluer ;
    • préconisation des améliorations ;
    • plan des travaux et financement.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1778
    Mettre en place le système de management de l’énergie dans une entreprise

    Le management de l’énergie a pour but d’éviter de mener des actions de réduction de la consommation énergétique de façon disparate, sans planification ni objectif. C’est une démarche d’amélioration continue de la performance énergétique qui repose sur des procédés, des outils de pilotage, des actions d’économie d’énergie et des comportements.

    Vous avez fait le choix de mettre en place le système de management de l’énergie (SME) dans votre entreprise suite à une démarche SWOT. Cependant, vous n’avez pas le temps ni les compétences pour initier le projet. Suivez donc ce guide pratique qui est structuré autour des points suivants :

    • faire l’état des lieux ;
    • définir les plans d’action ;
    • mettre en œuvre les plans d’action ;
    • surveiller les résultats attendus ;
    • assurer l’amélioration continue.
  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1804
    Mettre en place un processus de Facility Management dans une entreprise

    Le Facility Management (FM) est un concept qui regroupe des métiers, parfois simples, mais indispensables, qui ont pour objectif de créer un environnement de travail propice à l’efficacité et au bien-être des usagers. Notre étude reposera sur cette définition, qui n’est toutefois pas unique.

    Les entreprises font généralement appel à ce service afin d’externaliser un certain nombre de tâches qui ne relèvent pas directement de leur cœur de métier. La mise en place du processus est articulée autour de cinq piliers :

    • périmètre des tâches à sous-traiter ;
    • sélection des prestataires de service ;
    • contrats de sous-traitance ;
    • financement du projet ;
    • enquête de satisfaction des usagers.

    Ces tâches peuvent à divers titres contribuer à la réduction des consommations d’énergie des dispositifs ou bâtiments utilisés ou occupés par les usagers.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1782
    Mettre en place l’ISO 50001 dans l’entreprise

    L’un des moyens pour répondre à l’incitation des pouvoirs publics à demeurer sobre énergétiquement est la norme ISO 50001. Cette norme internationale a été mise en place le 15 juin 2011 par l’ISO (organisme international de normalisation) et a été révisée en 2018.

    D’application volontaire, sa mise en œuvre permet de :

    • réduire la facture énergétique ;
    • réduire l’impact carbone ;
    • gagner en crédibilité auprès des parties intéressées ;
    • éviter l’audit énergétique imposé aux grandes et moyennes entreprises de plus de 250 salariés tous les quatre ans.

    Dans le premier volet de cette étude, nous décrirons le processus de mise en œuvre de la norme. Le second volet sera consacré à la certification. Enfin, l’étude sera close par le financement du projet.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1771
    Définir la transition énergétique

    Vous souhaitez mettre en place un projet de transition énergétique dans votre entreprise. Pour réussir ce challenge, vous devez comprendre les enjeux de cette transition, c’est-à-dire optimiser la performance énergétique de votre site ainsi que son impact climatique. Vous devez également bâtir une stratégie à la hauteur de ces enjeux, c’est-à-dire l’intégration d’un ou plusieurs axes d’amélioration tels que la réduction de la consommation énergétique et l’adoption d’un mix énergétique pérenne.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1781
    Bien réussir la rénovation énergétique d’un local industriel

    Vous souhaitez réaliser des travaux d’économie d’énergie dans votre local industriel et améliorer l’image éco-citoyenne de votre entreprise. La réglementation environnementale RE2020 ainsi que l’article R172 -10-1 du décret n° 2021-1004 du 29 juillet 2021 sont les voies et moyens pour mener à bout ce projet. Mais par où commencer ?

    Afin de réaliser efficacement la rénovation énergétique qui découle de cette mise aux normes, ce guide a été structuré autour des sujets suivants :

    • identifier et mesurer les principales sources de déperdition thermique ;
    • recenser les travaux à réaliser ;
    • évaluer les coûts des travaux et rechercher les aides et le financement ;
    • lancer et suivre les travaux ;
    • réceptionner les travaux.

    Les bénéfices attendus sont de trois ordres à savoir : la sobriété énergétique, la décarbonisation de l’énergie consommée et la garantie du confort en période d’hiver et en période d’été lors des fortes chaleurs.

  • Article de bases documentaires : Fiche pratique : 1794
    Déployer une flotte de véhicules entreprise à mobilité verte

    Le temps de l’énergie bon marché est révolu. Au 1er janvier 2020, la France disposait d’un parc automobile de 38,2 millions de véhicules, dont seulement 1 % de véhicules électriques. Alors, comment choisir le véhicule le plus adapté à votre utilisation quotidienne tout en respectant les nouvelles réglementations et directives de l’État sur l’environnement ?

    C’est la problématique que cette fiche pratique va tenter de résoudre en tenant compte de l’existence de véhicules thermiques dans votre parc automobile actuel. Pour atteindre cet objectif, les points suivants sont abordés au cours de cette étude :

    • calendrier réglementaire et échéances ;
    • flottes de véhicules éligibles à la mobilité verte ;
    • avantages dus à la mobilité verte ;
    • aides à l’achat et avantages spécifiques.

    La dernière partie de la fiche porte sur la sensibilisation et la formation des salariés à l’écoconduite.