1. Classification
2. Perturbations engendrées sous l’effet des signaux fonctionnels
2.1 Perturbations par couplage magnétique
2.2 Perturbations par couplage électrostatique
2.3 Perturbations par conductances de fuite
2.4 Perturbations dues à des couplages par impédance commune à deux branches
3. Perturbations engendrées par le fonctionnement de l’équipement utilisé
3.1 Perturbations par couplage avec le réseau d’alimentation en énergie auxiliaire
3.2 Signaux parasites alternatifs ou pseudo-périodiques, engendrés par des organes internes des équipements
3.3 Perturbations produites par les composantes harmoniques des forces électromotrices fonctionnelles
3.4 Signaux parasites aléatoires
3.5 Signaux impulsionnels émis par les appareils
3.6 Signaux parasites à courant continu
3.7 Perturbations d’origine électromécanique ou mécanique
4. Signaux parasites engendrés par des sources étrangères à l’équipement utilisé
4.1 Parasites à fréquence industrielle ou acoustique
4.2 Parasites à haute fréquence (émissions radioélectriques)
4.3 Parasites impulsionnels
Une méthode de mesure ou d’étalonnage est généralement définie à partir d’un principe et d’un schéma de principe dans lequel on considère que les circuits représentés sur le dessin ont les propriétés idéales qu’on leur attribue. Il s’agit donc d’une démarche fondamentale qui constitue en quelque sorte une charpente, mais qui reste néanmoins abstraite.
Or, la mise en oeuvre de la méthode s’opère non plus avec des symboles sur un schéma (par exemple source à courant alternatif, résistance, capacité), mais avec des éléments matériels dont le comportement s’écarte plus ou moins du comportement idéal assigné aux symboles qui les représentent, notamment par la présence de couplages ou de forces électromotrices (auxiliaires ou parasites) non figurés sur le schéma.