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RÉSUMÉ
Les phénomènes relatifs à la migration de la vapeur d'eau dans la masse ont de nombreuses manifestations dans les ouvrages de construction. Sur la base d’un cas concret, celui spécifique d’un voile en béton, cet article se propose de résoudre les difficiles et délicats problèmes de condensations sous ses deux formes, superficielle et interne. Utilisant la méthodologie du diagramme de Glaser, l’approche est construite sur les conditions hygrothermiques, la période de l’année et l’aide des notes de calcul. La théorie des effets potentiels des chocs thermiques est largement détaillée. Cette étude hygrothermique complète permet d’aboutir à l’ensemble des valeurs pouvant être la cause de désordre.
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-
Paul DAHAN : Ingénieur ETP, European Engineer, ex-professeur à l'ESTP
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7. Effets du choc thermique
Sous l'action de la température, tous les matériaux subissent :
-
soit des variations de longueur s'ils sont « libres », pris au sens de la résistance des matériaux (RdM), c'est-à-dire, sans liaisons et/ou encastrements ;
-
soit des contraintes internes s'ils sont soumis à des « liaisons ».
Pour évaluer les variations (linéaires ou les contraintes), prenons comme températures médianes de référence :
-
pour l'intérieur : T mi ≥ 20 oC ;
-
pour l'extérieur : T me ≥ 15 oC.
Déterminons la répartition du gradient ΔT ≥ T mi – T me ≥ 5 oC, dans les différentes couches constituant le mur, en se servant des coefficients de proportionnalité de la note de calcul (cf. tableau 5).
À l'interface béton/enduit hydraulique on a : T m b./e.h. ≥ 16,0924 oC.
Pour l'enduit hydraulique on trouve : T m e.h. ≥ 16,0194 oC.
Ainsi l'interface enduit hydraulique/béton subira :
-
en hiver : une baisse de température ΔT baisse ≥ 16,0924 – 0,2436 ≥ 15,8488 oC ;
-
en été : une élévation de température ΔT élévation ≥ 32,1597 – 16,0924 ≥ 16,0673 oC.
7.1 Variations linéaires
Sous l'effet de la température, la variation linéaire
(allongement ou raccourcissement) est égale à :
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