L'étude hygrothermique d'un mur simple (voile en béton de 16 cm, voir dossier Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton[C 7 132]) nous a permis d'appréhender son comportement face aux agressions des agents naturels que sont la chaleur et l'eau, agissant séparément ou ensemble sous toutes leurs formes.
Dans ce dossier, nous allons trouver « les notes de calcul » de quelques parois simples, couramment utilisées en construction de bâtiments à usage d'habitations et/ou à usage industriel, ainsi que leurs « diagrammes de Glaser » correspondants, en période hivernale.
À la suite, quelques commentaires expliciteront la pathologie potentielle dominante des murs constitués principalement par des parpaings creux, du béton cellulaire, de la brique pleine ou creuse, de la pierre calcaire demi-ferme, de la pierre calcaire dure ou encore des joints de hourdage.
Les conditions climatiques retenues dans ce dossier sont les suivantes :
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en hiver :
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à l'extérieur : T e ≥ – 10 oC et HR e ≥ 90 % ou 95 %,
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à l'intérieur : T i ≥ + 19 oC et HR i ≥ 60 % ;
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en été :
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à l'extérieur : T e ≥ + 40 oC,
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à l'intérieur : T i ≥ + 24 oC ;
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en température moyenne de référence :
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à l'extérieur : T e ≥ + 15 oC,
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à l'intérieur : T i ≥ + 22 oC.
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Elles permettent le calcul des chocs thermiques dans des conditions hygrothermiques extrêmes applicables à l'ensemble du territoire national.
Nota : pour plus d'informations sur les caractéristiques des matériaux de construction, le lecteur pourra consulter le formulaire [Form. C 7 137].Un tableau regroupant les symboles utilisés pour les articles Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation[C 7 130] Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Cas concret : un voile en béton[C 7 132] et Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Exemples courants[C 7 134] est présenté à la fin de l'article Pathologie de l'humidité. Paroi simple- Phénomène de condensation[C 7 130].