La thermodynamique permet de connaître la nature des phases présentes à l’équilibre quand on fixe la température et la pression partielle des différentes espèces gazeuses qui interagissent avec un métal ou un alliage.
C’est donc un outil indispensable pour une approche scientifique de la corrosion sèche. Il ne faut cependant pas perdre de vue que toute corrosion est, par essence, une situation de non-équilibre global et que seules des situations d’équilibre local pourront être correctement décrites.
Pour expliciter les observations morphologiques et les mécanismes, nous avons choisi l’oxydation comme exemple de réaction de corrosion sèche. La transposition à la sulfuration (croissance de couches), à la carburation ou la nitruration (précipitation interne) et à la chloruration (évaporation) est immédiate.
Cette étude théorique sur la corrosion sèche des métaux se compose de deux parties :
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Corrosion sèche des métaux- Méthodes d’étude - Corrosion sèche des métaux. Méthodes d’étude ;
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[M 4 221] - Corrosion sèche des métaux. Mécanismes ; auxquels se rattache un fascicule de documentation « Pour en savoir plus » ;
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- Corrosion sèche des métaux. Méthodes d’étude et mécanismes.
L’étude pratique de divers cas industriels est traitée dans :
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Corrosion sèche des métaux- Cas industriels : oxydation, carburation - Corrosion sèche des métaux. Cas industriels : oxydation, carburation ;
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Corrosion sèche des métaux- Cas industriels : sulfuration, nitruration - Corrosion sèche des métaux. Cas industriels : sulfuration, nitruration ;
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Corrosion sèche des métaux- Cas industriels : halogènes - Corrosion sèche des métaux. Cas industriels : halogènes ;
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Corrosion sèche des métaux- Cas industriels : dépôts, milieux fondus - Corrosion sèche des métaux. Cas industriels : dépôts ; milieux fondus ;
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Corrosion sèche des métaux- Choix des alliages - Corrosion sèche des métaux. Choix des alliages ;
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- Corrosion sèche des métaux. Cas industriels. Pour en savoir plus.