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Adsorption : définition

Adsorption dans l'actualité

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Adsorption dans les ressources documentaires

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 sept. 2023
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  • Réf : AF3692

Le stockage solide de l’hydrogène

Outre les contraintes technico-économiques de la production et de l’utilisation de l’hydrogène vert, le problème du stockage est un verrou majeur à lever pour développer la filière hydrogène. Les stockages liquides à basse température et gazeux sous pression sont les principales techniques. Cependant, elles opèrent en conditions extrêmes de température (20 K en phase liquide) ou de pression (70 MPa en phase gaz) avec des problèmes économiques et sécuritaires inhérents. Une alternative à pression et température modérées doit être envisagée. Le stockage solide par absorption via des matériaux hydrures ou par adsorption dans des matériaux poreux est une option prometteuse. Néanmoins, des progrès en recherche fondamentale sont nécessaires pour mieux comprendre le potentiel de cette technique.

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 mai 2022
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  • Réf : IN403

Nouveaux matériaux pour le stockage de l’hydrogène

Parmi les matériaux pouvant former des hydrures métalliques, cet article dresse le bilan d’une nouvelle classe d’alliages désignés comme multi-élémentaires ou à haute entropie. Ces alliages, en rupture avec le paradigme métallurgique conventionnel, sont constitués de plusieurs éléments majoritaires concentrés. Les diverses méthodes de préparation, de caractérisation physicochimique et d’analyse des propriétés d’absorption/désorption de l’hydrogène de ces matériaux sont brièvement décrites. Ces outils assurent au lectorat une compréhension rapide et claire des enjeux liés à la recherche de nouveaux alliages multi-élémentaires pour le stockage de l’hydrogène présentés à la dernière section.

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 juin 2019
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  • Réf : P1430

Microextraction en phase solide (SPME)

La préparation d’échantillon est difficile surtout lorsque le composé d’intérêt est présent en faible quantité dans une matrice complexe. De nombreuses méthodes existent pour extraire et préconcentrer les analytes mais elles sont souvent longues ou consommatrices de solvant. La microextraction en phase solide ne présente pas tous ces inconvénients. C’est une méthode d’extraction sans solvant qui permet de préconcentrer des composés, le plus souvent, à l’état de traces dans des matrices alimentaires, environnementales ou biologiques. Cet article présente les fondements théoriques de cette technique, sa mise en œuvre et son optimisation et  conclut avec quelques applications pratiques.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 25 mars 2014
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  • Réf : 1278

Découvrir la soudure au gaz chaud (azote)

Dans le soudage des thermoplastiques, les appareils standards générant de l’air chaud utilisent l’air atmosphérique tel que nous le connaissons dans notre environnement, avec tout ce qu’il comporte.

L’air composé d’oxygène, combiné à la chaleur, oxyde les matériaux. Ce phénomène est observé et plus ou moins effectif dans toutes techniques de soudage par fusion de matière.

Cette fiche est un panorama complet des paramètres de soudure directs et connexes.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 08 déc. 2022
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  • Réf : 1802

Valoriser les chaleurs fatales

Les besoins en énergie thermique répondent aux exigences des procédés divers : séchage, concentration ou distillation, chauffage et apport thermique aux réacteurs chimiques. Ces besoins sont couverts pour 60 % par des combustibles fossiles (gaz, fioul, charbon), 30 % par l’énergie électrique et le reliquat pas des ressources diverses (renouvelables, biomasse…).

Au cours de ces processus, des quantités importantes de chaleurs sont libérées à plus bas niveau de température. Une part de cette chaleur est directement valorisée en étant réinjectée dans le procédé ou pour permettre un préchauffage des flux entrants ; une autre part est rejetée à l’atmosphère sans valorisation.

Pour valoriser ces pertes nettes, notamment en dessous de 200 °C, différentes technologies de valorisation énergétique sont envisageables. Au-delà de 200 °C, peu de technologies de valorisation sont disponibles, si ce n’est les récupérateurs thermiques.

Cette fiche doit vous permettre d’identifier les solutions techniques de valorisation.

Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 07 nov. 2023
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  • Réf : 1817

Produire de la chaleur à faible contenu carbone pour les usages industriels

La consommation d’énergie primaire de la France s’élève à 2 571 TWh en 2020 (en données non corrigées des variations climatiques). Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d’énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon. À l’exception des énergies hydraulique, photovoltaïque et éolienne (qui représentent à elles trois une somme de 117 TWh), les énergies primaires sont dans un premier temps transformées en énergie thermique puis pour certaines en énergie mécanique et électrique. L’énergie finale alors consommée pour les usages du bâtiment, des transports et de l’industrie, est évaluée à près de 1 600 TWh annuels (année 2020).

Dans cette fiche, nous nous limitons aux usages thermiques strictement industriels (hors production d’électricité) pour les utilités et les procédés de transformation industrielle par l’intermédiaire de chaudières ou de fours.

Comprendre les implications concrètes de la transition énergétique, et bâtir une stratégie d’entreprise à la hauteur de ces enjeux.


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