- Article de bases documentaires
|- 10 févr. 2018
|- Réf : BN3297
Cet article constitue la troisième partie d’un ensemble de trois articles exposant la maintenance mise en œuvre sur les centrales nucléaires françaises et cela sous tous ses aspects, techniques, humains, organisationnels. Il passe en revue les principaux composants des systèmes non nucléaires, certains matériels génériques présents sur tous les systèmes (nucléaires ou non) et le contrôle-commande de l’ensemble de la tranche. Il présente, pour chacun d’eux, les grandes lignes de sa conception, le retour d’expérience et les problèmes rencontrés, la maintenance qui lui est appliquée, les perspectives à long terme.
- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 2020
|- Réf : BN3741
Les matériaux carbonés sont historiquement associés au développement de l’énergie nucléaire, depuis la « Chicago Pile-1 » d’Enrico Fermi, aux réacteurs de 1 ère et 2 nde génération, et enfin pour les réacteurs de 4 e génération. Si, au vu de ses propriétés thermiques et mécaniques, le graphite a été utilisé comme matériau de structure et modérateur neutronique dès 1942, les matériaux C/C ont été identifiés plus récemment comme candidats pour différents composants des réacteurs de 4 e génération (barres de contrôle, conduits chauds, échangeurs de chaleurs…). Ils possèdent en effet des propriétés mécaniques et thermiques exceptionnelles. La diminution de leurs évolutions dimensionnelles, sous irradiation, reste le point clé pour le développement des barres de contrôle, principale application étudiée.
- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 2019
|- Réf : BN3908
Les principaux sites nucléaires français, les installations qu'ils abritent et les principaux radionucléides qu'ils sont autorisés à rejeter dans l'environnement par voies atmosphérique et liquide sont tout d'abord présentés. Les relations entre les activités rejetées, les activités massiques ou volumiques mesurées dans les différentes composantes de l'environnement (air, eau, sols, denrées... ) et les doses qui peuvent en résulter pour les populations avoisinantes sont ensuite explicitées. Le tritium et le carbone 14 qui sont les radionucléides majoritaires dans les effluents radioactifs de la plupart de ces sites, sont également ceux pour lesquels les activités massiques et volumiques mesurées sont les plus importantes (de l'ordre de quelques becquerels par mètre cube dans l'air et quelques becquerels par kilogramme dans les denrées); ils sont aussi les principaux contributeurs aux doses reçues par les populations, essentiellement du fait de l'ingestion de denrées produites localement. Certains sites présentent cependant des particularités : inhalation de poussières d'uranium pour les sites de l'amont du cycle du combustible, exposition externe au krypton 85 et incorporation d'iode 129 dans le cas du site de La Hague dédié principalement au traitement de combustibles usés. Même pour les personnes habitant à proximité d'un site nucléaire, les doses estimées résultant des rejets normaux des installations sont très faibles, le plus souvent inférieures à 1 microsievert par an.