- ARTICLE INTERACTIF
|- 10 nov. 2023
|- Réf : AF88
Le terme « logique » est dérivé du grec ancien signifiant à la fois « discours » et « raisonnement ». En tant que domaine interdisciplinaire de la philosophie, de la linguistique, des mathématiques et plus récemment de l’informatique et surtout de l’intelligence artificielle, la logique traite de l’inférence, qui se définit comme une « opération cognitive », forme élémentaire de raisonnement passant de prémisses à une conclusion. Cet article, le premier d’une série de trois, présente des éléments sur les langages et sur les raisonnements, avant d’aborder les systèmes logiques, puis la métalogique. Un glossaire en annexe résume précisément les définitions de nombreuses notions.
- Article de bases documentaires
|- 10 nov. 2023
|- Réf : AF89
Cet article, le deuxième d’une série de trois, traite des logiques classiques qui donneront naissance à la logique mathématique à la fin du XIXe siècle. La logique des propositions est d’abord présentée. Ensuite, est exposée la logique des prédicats qui s’est imposée au tournant du XIXe et du XXe siècle, car admettant un plus grand pouvoir expressif. De nombreux exemples didactiques et applicatifs illustrent les propos. En annexe, sont listées les propriétés des connecteurs logiques et les formes logiques utilisées comme axiomes ou règles d’inférences, ainsi qu’une liste de notations.
- Article de bases documentaires : RECHERCHE ET INNOVATION
|- 10 mars 2022
|- Réf : IN195
Cet article présente un survol de l’état de l’art en traitement automatique des langues, en explorant une architecture computationnelle, le modèle Transformer, qui joue un rôle central dans une large gamme d’applications. Cette architecture condense de nombreuses avancées des méthodes d’apprentissage neuronales et peut être exploitée de multiples manières : pour apprendre à représenter les entités linguistiques ; pour générer des énoncés cohérents et répondre à des questions ; pour réaliser des transformations des énoncés, une illustration étant leur traduction automatique. Ces différentes facettes de l’architecture seront successivement présentées, ce qui permettra également d’évoquer ses limitations.
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 26 août 2014
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- Réf : 1335
Souvent, une recherche sur Internet effectuée à partir des moteurs de recherche classiques conduit à des ensembles de résultats qui, s’ils sont classés dans un certain ordre, ne mettent pas en évidence les principaux thèmes traités dans la recherche. Les références ne sont pas présentées en blocs significatifs. L’utilisateur ne peut donc pas directement accéder aux différents thèmes sélectionnés dans la recherche. La cartographie du sujet traitée n’est donc pas disponible.
Pour fournir une réponse à cette problématique, des sociétés ont rendu accessibles via l’Internet des « clustering engines » qui, à partir d’une question posée par l’utilisateur, fourniront les résultats en les répartissant par blocs significatifs avec un intitulé précis pour chacun de ces derniers. Ceci permet à l’utilisateur de connaître quasi instantanément les différents thèmes qui apparaissent dans son résultat de recherche et, en outre, d’accéder à chacune des réponses présentes dans les blocs d’information. Cette sériation des résultats est réalisée en utilisant des programmes d’analyse de données, transparents pour l’utilisateur.
Toutes les clefs pour maîtriser la veille technologique
- Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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- 23 août 2020
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- Réf : 1696
L’analyse des parties prenantes est habituellement effectuée en se concentrant sur les parties prenantes internes et externes impactant le projet ou impactées par le projet. Or, la complexité des projets fait qu’il existe un nombre très élevé de parties prenantes potentielles. Toutes ne seront pas retenues en tant que telles dans le projet. Le choix doit se faire en fonction de la pertinence, les critères de sélection habituellement utilisés sont l’intérêt et le pouvoir.
Ces critères sont certes utiles, mais dans la pratique ils s’avèrent trop simplistes. Une des conséquences de critères trop simplistes est que l’organisation projet se concentre sur ce qui facilite et réduit la complexité là où elle est particulièrement nécessaire. La restauration de cette complexité se fait donc par un travail sur la position de l’organisme en charge du projet. Elle doit lui permettre de prendre conscience de ses propres critères, de ses propres forces et faiblesses, de sa représentation du monde et de ce qui est important à ses yeux.
Gestion et pilotage du projet : les fiches pour évaluer, planifier, communiquer, capitaliser