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Acquisition dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2005
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  • Réf : F1164

Mise en place de la traçabilité dans une microfilière viande

Le secteur agroalimentaire, et particulièrement la filière viande, n’échappe pas aux évolutions règlementaires et à l’obligation de mettre en place un système permettant une traçabilité sans faille. Il existe de nombreux systèmes de suivi  des produits agroalimentaires, encore faut-il retenir  le plus adapté. L’exemple d’une entreprise est prise afin d’illustrer concrètement, et le plus pertinemment possible, la problématique de la mise en œuvre d’un système d’information dans le contexte de microfilière.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mai 2000
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  • Réf : H7248

Bases de données documentaires

Les applications dans le domaine documentaire reposent sur la fonction de mémorisation qui doit être intégrée à d’autres fonctionnalités autorisant l’exploration, la réutilisation partielle du contenu des documents mémorisés et parfois même leur restructuration. A titre d’exemple, on peut citer toutes les applications informatiques liées aux activités de test d’intégration et de maintenance d’objets structurés – assemblage de composants – qu’elles s’inscrivent dans un contexte de génie logiciel (composants logiciels), spatial (intégration de satellites : composants satellites), aérospatial (composants d’avions), etc. Généralement, les composants sont décrits dans des manuels de spécification qui doivent être repris (réutilisés, adaptés) dans le cadre des activités d’intégration, de test, de maintenance. Les problèmes liés à la multiplicité des sources de données hétérogènes se sont encore accrus avec l’essor du Web. Il est nécessaire de disposer d’outils d’intégration et de modèles pour avoir une vision abstraite et synthétique, et rendre accessibles et manipulables ces grands volumes de données constitués en véritables entrepôts. La mise en œuvre de tels systèmes de gestion de documents électroniques nécessite généralement le recours aux systèmes de gestion de bases de données pour assurer les fonctions interdépendantes de mémorisation et d’accès aux informations. L’accès et la recherche d’informations dans les documents électroniques s’effectuent généralement selon trois modes. Le premier, essentiellement utilisé pour des données textuelles, consiste à rechercher une chaîne – plus généralement un motif – dans un texte : on le rencontre dans les systèmes de recherche d’informations qui mettent en œuvre des mécanismes d’indexation « en texte intégral » et d’appariement textuel. Le deuxième repose sur la connaissance a priori d’une structure totale définie sur les données manipulées : on le rencontre dans les systèmes de gestion de bases de données où il est mis en œuvre à travers le schéma de la base de données et un langage d’interrogation basé sur un ensemble fini d’opérateurs. Le troisième met en œuvre des mécanismes de balayage et de navigation sur des informations faiblement structurées. On le rencontre dans les systèmes hypertextes et en particulier sur le Web. Ces trois approches doivent être supportées par tout système de gestion de documents électroniques. Le concept de document est associé à celui d’informations semi-structurées qui sont caractérisées par leur absence totale ou partielle de structure, depuis l’information tout à fait non structurée jusqu’à l’information semi-structurée, ainsi que leur hétérogénéité : multiplicité des formats, des formalismes, des structures, des types, des médias, etc. Les documents sont mémorisés dans un entrepôt, ou base documentaire, support à l’interrogation et à la manipulation, via des opérateurs d’indexation, filtrage, extraction. La modélisation de toute base documentaire se doit d’être générique, évolutive, indépendante du niveau de granularité des unités documentaires et des normes de représentation. La première partie de cet article présente l’architecture de la base documentaire. Dans cette section, il convient de bien positionner le concept de structure attaché aux objets documentaires mémorisés dans la base documentaire par rapport à la structure de la base elle-même (concept de schéma dans les bases de données). Dans la deuxième partie, compte tenu des spécificités de l’approche documentaire (notamment l’hétérogénéité), les caractéristiques du processus d’intégration de documents semi-structurés dans la base doivent être explicitées. La troisième partie aborde la manipulation de documents au travers d’opérateurs sous-tendus par les fonctionnalités d’un langage générique. Nous avons adopté cette approche pour rendre notre présentation indépendante de la syntaxe d’un langage spécifique et avoir une couverture fonctionnelle élargie. La dernière partie donne un bref aperçu des langages d’interrogation et de manipulation, parmi les plus représentatifs.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 02 oct. 2017
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  • Réf : 0334

Comprendre la gestion électronique des documents (GED) pour choisir l’outil le mieux adapté

Votre système documentaire devient lourd, sa gestion fastidieuse. Vous souhaitez mettre en place un dispositif permettant d’améliorer la gestion, le classement, l’organisation, la sauvegarde et le partage des documents essentiels.

La gestion électronique des documents (GED) permet tout cela, mais sa mise en œuvre ne se fait pas sans évolution des pratiques. Il s’agit d’un projet d’envergure pour l’entreprise qui doit être mené méthodiquement et avec le concours de tous.

  • En quoi la GED peut-elle contribuer à répondre aux exigences normatives en matière de maîtrise documentaire ?
  • Comment permet-elle un partage efficace et transversal de l’information ?

Cette fiche vous précise comment mettre en place cette gestion électronique des documents dans votre entreprise.

Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 11 déc. 2012
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  • Réf : 1120

KB Crawl

KB Crawl est un éditeur français de logiciels et solutions de veille, créé en 1995 et basé à Rueil-Malmaison.

KB Crawl propose une solution de veille à géométrie variable : de l’outil monoposte à la plate-forme collaborative d’entreprise, en mode Saas (Software as a service) ou en client/serveur. Elle est utilisée par 40 000 utilisateurs dans le monde sur plus de 350 projets. La société dispose d'un club utilisateurs. Budget d'un projet: à partir de 5 000 euros pour une version monoposte.

Tous les types de veille sur Internet sont possibles : concurrentielle, e-réputation, juridique, sectorielle, scientifique… Et tous les types de sources sont accessibles à la surveillance.

Des prestations d’accompagnement et de conseil sont également mises à disposition des clients.

KB Crawl a obtenu plusieurs récompenses : prix OSEO (2004), I-Expo (2006), et a été nominée au Trophée EuroCloud 2012.

Parmi ses clients significatifs dans l'industrie figurent : Legrand, Tarkett, Vallourec, Sodiaal, Knauf, Cargil, IFP-EN, Serda (portail SerdaLab).

IFPEN est utilisateur de l'outil de collecte KB Crawl depuis 2003 : d'abord en monoposte (mode qui n'est plus commercialisé pour les versions récentes), puis en mode client/serveur depuis 2010 (version 4 installée).

Cette fiche vous permet de découvrir KB Crawl décliné en deux solutions :

  • KB Crawl Premium Edition, outil de collecte d’informations, disponible en Saas ou en client/serveur ;
  • KB Crawl Professional Edition, plate-forme de veille intégrée, disponible en Saas.

Toutes les clefs pour maîtriser la veille technologique

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 09 juil. 2017
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  • Réf : 1636

Quel est le régime fiscal applicable au brevet ?

Cette fiche permettra d’appréhender le régime fiscal des brevets, notamment certains aspects du régime de faveur applicable sous conditions aux opérations portant sur les cessions ainsi que sur les concessions et sous-concessions de licence d’exploitation de brevets.

Le régime applicable aux dépenses de recherche et de développement liées aux inventions brevetées sera également évoqué afin de vous permettre d’avoir une vue d’ensemble sur les dispositifs offerts en France.

Il convient de noter que le régime fiscal du brevet est étroitement lié aux traitements comptables du brevet et des opérations réalisées, lesquels seront également évoqués.

Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.


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