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Compostage : définition et propriétés

Traitement biologique de déchets organiques permettant de poursuivre un ou plusieurs des objectifs suivants : stabilisation du déchet pour réduire les pollutions ou nuisances associées à son évolution biologique, réduction de la masse du déchet, production d'un compost valorisable comme amendement organique des sols.

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Compostage dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 avr. 2010
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  • Réf : G1925

Émissions gazeuses et traitement de l'air en compostage

Le compostage est une méthode de valorisation des déchets, qu'ils soient d'origine domestique, industrielle ou agricole. Cette technique biologique de transformation de la matière est constituée de deux phases : une fermentation aérobie relativement rapide, puis une maturation du compost d'une durée de plusieurs mois. Un traitement de qualité optimale nécessite une réelle approche scientifique et technologique, ainsi qu'une parfaite maitrise des principaux paramètres opératoires. Cet article couvre l'ensemble de ces notions. Il aborde en premier lieu les principes du compostage, en particulier la question des émissions gazeuses et des odeurs ainsi que les moyens disponibles pour limiter la gêne provoquée par ces effluents gazeux. Il indique ensuite les différents procédés de traitement. Enfin, un cas pratique issu de l'industrie est présenté, ce qui permet d'appréhender la méthode à appliquer.

  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 déc. 2022
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  • Réf : G2060

Traitements biologiques des déchets solides

Les traitements biologiques sont des procédés efficaces dans leurs domaines d'application. Ils n'exigent pas de technologies sophistiquées, sont simples de mise en œuvre et relativement peu onéreux. Cependant, un bon savoir-faire est nécessaire pour une mise en œuvre efficace et pérenne. L’article décrit dans un premier temps les principaux types de déchets organiques biodégradables solides et boueux concernés. Puis, il présente les types de métabolismes microbiens afin de définir les familles de traitement qui en découlent. Les procédés aérobies et anaérobies sont alors décrits dans leurs objectifs, leurs paramètres puis leur mode de mise en œuvre, avant d’être illustrés par des exemples d’application.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 févr. 2012
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  • Réf : W9740

Paradoxe du compostage : solution de gestion des boues d'épuration et source de nuisances odorantes

La gestion des déchets est une préoccupation grandissante tant pour les pouvoirs publics et les collectivités que pour les industriels. Suite au développement de l'assainissement, la gestion des boues de station d'épuration (STEP) est devenue une problématique majeure pour les acteurs du traitement de l'eau. Pour preuve, 40 % de la dépense nationale de gestion des déchets étaient consacrés en 2006 à la gestion des eaux usées, selon l'Institut français de l'environnement (IFEN). Depuis le décret 97-1133 de 1997, les boues de STEP sont considérées comme des déchets – au sens de la loi du 15 juillet 1975 –, ce qui impose leur traçabilité et la responsabilité du producteur jusqu'à leur élimination. Cependant, certaines de leurs caractéristiques confèrent aux boues un statut de produit potentiellement valorisable, notamment après un traitement adéquat, et sous des critères de qualité stricts. Le compostage s'est révélé une alternative économiquement et écologiquement intéressante pour favoriser la valorisation agricole des boues d'épuration, dans le cadre d'une politique de développement durable. Toutefois, les nuisances odorantes générées par les installations industrielles de compostage sont à l'origine de plaintes de la part des riverains, pouvant aller jusqu'à la fermeture du site. En tant que principaux freins au développement du compostage, les nuisances odorantes doivent être traitées. De nombreux procédés physiques, chimiques et biologiques permettent aujourd'hui le contrôle des odeurs, conformément aux normes de rejet imposées par la réglementation. Cet article se propose de présenter le compostage sous ses deux angles a priori antagonistes : en tant qu'alternative intéressante pour la gestion problématique des boues d'une part, et en tant que source de pollution atmosphérique secondaire d'autre part. L'article commence donc par remettre le compostage dans son contexte, en abordant la problématique de la gestion des boues et en présentant les orientations stratégiques gouvernant la répartition des boues dans les différentes filières de valorisation et/ou d'élimination envisageables. L'article s'intéressera plus particulièrement au processus de compostage, en soulignant notamment les avantages qui en font une alternative de choix pour la valorisation des boues, en termes énergétiques, environnementaux, économiques. Enfin, l'accent est mis sur les émissions odorantes liées au compostage, qu'il est important de connaître, comprendre et caractériser, afin de pouvoir les traiter. Il s'agit en effet du point sensible du compostage et donc du principal frein au développement industriel du compostage de boues d'épuration, et de toutes façon la réglementation impose des normes de rejet strictes, rappelées en fin d'article.

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 15 mai 2017
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  • Réf : 0485

Comprendre la notion d’enregistrement. Quels sont ses impacts ?

Les installations relevant du régime de l’enregistrement peuvent avoir des impacts sur l’environnement. Cependant, le procédé de ces installations est tel que les risques potentiels sont connus. Les dispositifs de maîtrise sont communs. Ainsi, la procédure peut être simplifiée. C’est la raison pour laquelle ce régime a été créé. Il a pour objectif de réduire de moitié les délais de délivrance des autorisations et de simplifier les dossiers à fournir par les industriels.

L’industriel doit donc réaliser un dossier d’enregistrement. À l’issue de la procédure, il disposera d’un arrêté d’enregistrement.

Lors du fonctionnement, les industriels seront amenés à répondre aux mêmes demandes que les installations classées sous le régime de l’autorisation.

Vous souhaitez comprendre l’impact de ce nouveau régime ? Comment l’enregistrement s’articule-t-il avec les autres régimes ?

180 fiches actions pour auditer et améliorer vos réponses aux obligations relatives aux installations classées pour la protection de l'environnement

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 02 mai 2012
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  • Réf : 0492

Établir sa déclaration annuelle des émissions polluantes et des déchets

La déclaration annuelle des émissions polluantes est réalisée par l’exploitant par voie électronique via le site de déclaration annuelle des émissions polluantes (GEREP). Les données transmises mettront à jour le registre des émissions polluantes et des déchets. Les installations relevant du système d’échange de quotas de gaz à effet de serre doivent faire cette déclaration et fournir des renseignements complémentaires tels que le détail des méthodes de quantification de CO2, les nom et avis de l’organisme vérificateur.

180 fiches actions pour auditer et améliorer vos réponses aux obligations relatives aux installations classées pour la protection de l'environnement

  • Article de bases documentaires : FICHE PRATIQUE
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  • 15 mai 2012
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  • Réf : 0783

Déchets : les points de contrôle

Le Grenelle de l’environnement et les Directives européennes modifient au fur et à mesure la gestion des déchets en entreprise et étendent la responsabilité des producteurs. Il est dès lors nécessaire pour une entreprise de connaître les exigences à respecter dans le cadre de la gestion de ses déchets. Quelles sont les actions à mettre en œuvre quels que soient la taille de l’entreprise, son statut, ou la quantité de déchets produite ?

Les fiches pratiques répondent à des besoins opérationnels et accompagnent le professionnel en le guidant étape par étape dans la réalisation d'une action concrète.


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