Bibliographie & annexes
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RÉSUMÉ
Nouvelle édition numérique d’innovations marquantes publiées en 2017 dans notre collection. Retrouvez une sélection d’avancées technologiques significatives dans le domaine des nanotechnologies, de l’impression 3D, des implants dentaires et des compléments alimentaires à base de plantes.
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This article presents some noteworthy innovations in additive manufacturing, dental implants, nanotechnologies and dietary supplements. It draws from articles published in 2017 in our collection.
Auteur(s)
INTRODUCTION
Les risques sanitaires des nanoparticules de dioxyde de titane et d’argent n’étant pas encore établis de façon certaine, les études concernant les vecteurs d’exposition et les mécanismes d’intoxication sont nécessaires pour accompagner les développements industriels et informer au mieux les consommateurs.
Technologie émergente et prometteuse, le bio-printing appartient à l’ingénierie du vivant tout en intégrant les sciences physiques, chimiques, mathématiques, ainsi que les principes et les connaissances en biologie et en médecine : il vise la fabrication d’organes ou de tissus vivants par fabrication additive.
De par le milieu buccal et la fonction mastication, les implants dentaires doivent faire face à des phénomènes de corrosion, d’usure et de tribocorrosion. Le développement et la mise en œuvre de revêtements et de traitements de surface adaptés permettent d’optimiser la bonne intégration de l’implant dans la mâchoire et d’allonger sa durée de vie.
La sortie progressive des plantes médicinales du monopole pharmaceutique français a offert la possibilité à des professionnels de commercialiser des compléments alimentaires à base de plantes. Afin de garantir la sécurité des consommateurs, la réglementation française s’est étoffée en établissant la liste des plantes, autres que les champignons, autorisées dans les compléments alimentaires et les conditions de leur emploi.
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KEYWORDS
nanotechnology | additive manufacturing | dietary supplements | Dental implant
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Implants dentaires : corrosion et traitements de surface2. Bio-printing. État des lieux et perspectives
Emmanuel GUÉDON, Directeur de Recherche CNRS - LRGP – UMR7274 CNRS-UL, Nancy
Laurent MALAQUIN, Chargé de Recherche CNRS - LAAS – CNRS, Toulouse
Jean-Claude ANDRÉ, Directeur de Recherche CNRS - LRGP – UMR7274 CNRS-UL, Nancy
Le bio-printing vise à mettre à disposition des biologistes et des médecins des procédés permettant de déposer des suspensions cellulaires, des solutions aqueuses ou des hydrogels sur des supports biocompatibles, en limitant les différents stress que peuvent subir les cellules, par les procédés de fabrication additive pour atteindre une fonctionnalité biologique souhaitée dans les tissus ou organes bio-imprimés. Un domaine émergent dont le développement doit prendre en compte les verrous imposés par le vivant et déterminer les moyens pour les lever.
Domaine : bioingénierie
Degré de diffusion de la technologie : émergence
Technologies impliquées : fabrication additive, impression 3D, biologie cellulaire
Domaines d'application : ingénierie tissulaire, médecine régénérative, cosmétologie
2.1 Fabrication de tissus biologiques
Le bio-printing appartient à l’ingénierie du vivant, qui intègre les sciences physiques, chimiques, mathématiques, ainsi que les principes et les connaissances en biologie et en médecine : il vise la fabrication d’organes ou de tissus vivants. Relativement aux techniques de fabrication additive classiques, l’impression d’éléments biologiques ajoute un niveau de complexité important aux procédés car il est nécessaire de structurer « intelligemment » des matériaux vivants ou non, mimant la matrice extracellulaire et de contrôler les distributions spatiales de différents types de cellules ou de biomolécules pouvant jouer...
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Bio-printing. État des lieux et perspectives
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