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Réduction : définition et propriétés

Réaction chimique, inverse de l'oxydation, au cours de laquelle un (ou plusieurs) atome(s) d'une molécule ou d'un ion gagne (nt) un ou plusieurs électrons.

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  • ARTICLE INTERACTIF
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  • 10 mars 2025
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  • Réf : COR2005

Compréhension et mitigation du vieillissement des batteries Li-ion

Le vieillissement des batteries est une problématique complexe dépendant de multiples facteurs, variables selon les matériaux et architectures utilisés. Avec le nombre croissant d’applications visant une perte d’autonomie inférieure à 20-30 % sur plus de 10 ans, limiter ce vieillissement représente un enjeu économique et écologique majeur. Diagnostiquer, ralentir et prédire le vieillissement d’une batterie est donc primordial. L’étude des mécanismes selon les conditions d’usage guide aujourd’hui le développement de stratégies de mitigation et de modèles de prédiction du vieillissement. Cet article détaille les principales causes de dégradation, les conséquences sur les composants internes et sur le comportement de la batterie Li-ion ainsi que les stratégies de mitigation du vieillissement.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 mars 2013
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  • Réf : M2357

Ressources et métallurgie extractive du scandium

Le scandium, largement dispersé dans la lithosphère, a été produit à l'origine à partir de la thortveitite et, comme sous-produit, à partir de solutions de lixiviation de minerais d'uranium. Il peut aussi être extrait de rejets miniers et de résidus métallurgiques. Les principaux usages du scandium sont les équipements sportifs, les alliages à haute résistance, les lampes à halogène, l'électroniq...

Les articles de référence permettent d'initier une étude bibliographique, rafraîchir ses connaissances fondamentales, se documenter en début de projet ou valider ses intuitions en cours d'étude.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2005
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  • Réf : M7580

Réduction directe

Depuis une vingtaine d’années, quatre faits sont devenus très marquants dans le domaine de la réduction directe des minerais de fer , qui est, comme l’on sait, la dénomination acceptée pour la réduction des minerais de fer à l’état solide (qui a pratiquement lieu en dessous de 1 000 à 1 100  o C). Tout d’abord, on constate la croissance des capacités et de la production mondiale des minerais de fer réduits à l’état solide, c’est-à-dire des DRI (Direct Reduced Iron) et les HBI (Hot Briquetted Iron). L’essentiel de cette expansion se fait dans les pays en développement, la part des pays industrialisés étant très limitée. Ensuite, on note le rôle prépondérant des procédés de réduction par le gaz naturel, par rapport à la réduction par le charbon (bien qu’il y ait des signes d’une évolution à cet égard) et par voie de conséquence, comme indiqué plus haut, le développement de la réduction directe dans les pays où le gaz naturel est abondant et bon marché, c’est-à-dire surtout dans les pays en développement. Puis, on remarque le développement du briquetage à chaud des minerais réduits (pour obtenir les HBI) de façon à faciliter les transports, notamment par voie maritime, avec de moindres risques de réoxydation pour créer un marché mondial des minerais réduits. Enfin, à côté des procédés devenus maintenant classiques, c’est-à-dire basés sur le gaz naturel et le four à cuve (MIDREX et HYL), on constate qu’il y a toujours des activités de recherches et développement, mais plus pour améliorer les procédés existants que pour créer de nouveaux procédés. Ces quatre points constituent les principales parties de cet article qui seront précédées du rappel des bases scientifiques de la réduction des minerais de fer à l’état solide et suivies d’une conclusion sur les avantages, les difficultés et l’avenir de la réduction directe.


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