
DEEE : 4500 fois la Tour Eiffel !
L’an dernier, le volume de déchets électroniques a augmenté de 8 %, selon un rapport publié sous l’égide de l’Université des Nations Unies (UNU). Il atteint presque 55 millions de tonnes, soit...
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L’impression 3D offre un avantage de principe relativement aux technologies de fabrication soustractives conventionnelles, celui de n’utiliser que la seule quantité de matière nécessaire à la réalisation d’un objet avec des gains en termes de consommation de matière. Plusieurs types de déchets peuvent être toutefois pris en considération selon les procédés d’addition de matière, les pièces ratées ou plus généralement les matières qui leur ont donné naissance durant le processus de fabrication. L’article présente les intérêts et problèmes associés à leur recyclage, les modes principaux de recyclage actuels. Il ne fait pas mention du recyclage des pièces ratées, sauf dans le cas des polymères fusibles, ni d’autres conceptions d’objets utilisant des supports, ou de composites, ou de systèmes multi-matériaux.
Les rejets industriels dangereux liquides sont inévitables malgré l’existence de mesures préventives de réduction à la source. Les filières de traitement de ces rejets visent différents objectifs : permettre leur recyclage total ou partiel, faciliter leur valorisation matière ou énergétique, permettre leur retour « écocompatible » dans l’environnement ou encore les décomposer, plus ou moins complètement, en espèces chimiques plus « inoffensives ». Ces filières nécessitent la mise en œuvre de techniques très variées qui relèvent de différentes disciplines scientifiques : thermique, mécanique, physique, chimie, physico-chimie ou biologie. Le présent article est relatif aux techniques chimiques et physico-chimiques pour le cas des déchets dangereux liquides issus de l’industrie.
L’extraction des hémicelluloses du bois en amont du procédé de production de fibres de cellulose est un moyen de mieux valoriser l’ensemble de la biomasse végétale entrant dans une usine. Cet article aborde l’intérêt de la valorisation des hémicelluloses en comparant l’extraction des hémicelluloses issues de deux espèces de bois (bois résineux mélangés et eucalyptus globulus). Cette extraction est obtenue par une autohydrolyse et une préhydrolyse, en présence d’acide sulfurique. Plusieurs voies de valorisation sont possibles : fermentation des sucres en alcool, production de tensioactifs non ioniques de type polyglucosides d’alkyles, ou production de prébiotiques à partir des oligosaccharides.
Que ce soit à l’occasion d’une opération d’achat ou de vente de technologies (vente de fonds de commerce, apport partiel d’actif, apport au capital d’une société, cession ou licence de titres de propriété intellectuelle, communication de savoir-faire commercial ou industriel, accord de licences croisées), d’une demande de vos investisseurs dans le cadre d’audits financiers (due diligence, rapport annuel comptable, gestion fiscale, financement par la dette), de la constitution d’un portefeuille de titres de propriété intellectuelle, ou dans le cadre de litiges (pour une expertise financière des dommages et intérêts, un règlement transactionnel), votre entreprise peut avoir besoin d’évaluer la valeur de ses actifs immatériels.
Vous devez donc pouvoir :
Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.
Vous recevez un cahier des charges détaillé dans lequel toute la demande de votre client semble être connue.
Vous pensez légitimement que cela doit suffire à lancer une étude.
Cependant, il est dans votre intérêt de prendre le temps de préciser si le demandeur et le fournisseur que vous êtes interprètent les termes de façon identique.
Vous trouverez dans cette fiche des conseils pour :
Un outil incontournable pour comprendre, agir et choisir- Nouveauté !
Le savoir-faire en tant que tel ne fait pas l’objet, au profit de son détenteur, d’un droit privatif. Une fois divulgué, le savoir-faire ne peut donc plus être protégé et perd ainsi toute sa valeur.
La valorisation et la protection de votre savoir-faire seront donc essentiellement volontaires et nécessiteront la mise en place de mesures juridiques ou techniques destinées à en préserver le secret.
L’objectif de cette fiche est de vous permettre de comprendre les moyens légaux, techniques et contractuels dont vous disposez pour valoriser et protéger votre savoir-faire.
Les fiches pratiques pour protéger vos innovations.
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