| Réf : C3670 v1

Terminologie de base
Stockage de l’eau : ouvrages en béton

Auteur(s) : Bruno DUCROT, Bernard FARGEOT, Gérard MATHIEU

Date de publication : 10 févr. 1998

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RÉSUMÉ

Cet article permet d’acquérir une base de vocabulaire solide pour la construction des ouvrages neufs en béton de réception, transfert, traitement ou stockage de l’eau ou des liquides. Cette terminologie n’est pas exhaustive. Elle trouve son intérêt dans la nécessité, d’harmoniser le vocabulaire afin d’améliorer la communication verbale et écrite entre les différents acteurs d’un chantier. Elle doit aussi permettre d’éviter les erreurs de langage préjudiciables dans la conduite des études et des contrats.

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ABSTRACT

Concrete water tanks - Basic terminology of concrete and sealing for new works

This article helps professionals acquire a solid vocabulary base for the construction of new concrete structures for receiving, transferring, treating or storing water or liquids. This terminology is not exhaustive. Its utility is in addressing today’s proven need to harmonize vocabulary to improve verbal and written communication between the different agencies and individuals involved in a project. It also helps avoid language errors that can cause difficulties in the conduct of studies and contracts.

Auteur(s)

  • Bruno DUCROT : Ingénieur de l’École Centrale de Lyon - Ingénieur-Conseil

  • Bernard FARGEOT : Ingénieur-Conseil

  • Gérard MATHIEU : Chargé de recherches au Cemagref (Centre national du machinisme agricole du génie rural des Eaux et Forêts)

INTRODUCTION

Les ouvrages en béton de stockage et de transport de l’eau concernés par cet article ont pour objet de « contenir » des eaux brutes, résiduaires ou destinées à la consommation humaine, ou des eaux éventuellement chargées de matières dissoutes et en suspension (eaux usées ou polluées, eaux salines, lisier, vin, etc.) mais non des hydrocarbures ou des produits chimiques.

Le mot « contenir » doit être pris dans un sens très large de « retenir » à « canaliser », avec prise en compte de différents degrés d’étanchéité, mais aussi d’influences physicochimiques diverses.

Les ouvrages concernés, tels que châteaux d’eau, réservoirs, cuves, bassins, fosses, aqueducs, etc., sont en béton armé et/ou en béton précontraint, coulés en place ou préfabriqués.

On peut éventuellement se référer à cet article pour la construction d’ouvrages d’autres natures tels que barrages et seuils en béton armé constitués de plaques et coques, sous réserve de tenir compte des problèmes particuliers à chaque type d’ouvrage.

Le domaine d’application peut être étendu, en ce qui concerne la structure, à des ouvrages de techniques analogues tels que fosses, cuves et batteries de cuves devant contenir des liquides autres que ceux définis précédemment.

Tous ces ouvrages sont, en général, très sensibles à l’environnement.

La conception et l’exécution des ouvrages doivent tenir compte des différentes causes directes ou indirectes de limitation, de modification ou de dégradation de la fonction étanchéité telles que contenu, contenant, exploitation, environnement extérieur.

Cet article propose des recommandations portant sur :

  • la conception et le calcul ;

  • la mise en œuvre du béton, des traitements et des revêtements ;

  • les limites d’utilisation ;

  • les essais, contrôles et réception ;

  • l’entretien et la maintenance ;

  • les responsabilités, garanties et assurances.

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KEYWORDS

Concrete   |   building   |   terminology   |   liquide storage

VERSIONS

Il existe d'autres versions de cet article :

DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c3670


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1. Terminologie de base

Nota :

on se reportera également au Guide LCPC-SETRA.

Accrochage

Terme de métier désignant l’adhérence, le plus souvent utilisé pour désigner l’adhérence d’un feuil sur un subjectile nu.

Altérations des feuils (films)

Modifications de la structure et/ou de l’aspect d’origine d’un feuil, correspondant à une dégradation de ses caractéristiques.

Nota :

1. Les altérations sont des signes de la dégradation du feuil au cours de son vieillissement en service, donc au-delà de sa période de formation (c’est-à-dire après séchage complet) : cette précision permet de différencier les altérations proprement dites des défectuosités initiales susceptibles d’affecter plus ou moins profondément le feuil dont la formation est encore inachevée.

2. Les altérations visées ci-avant résultent de causes très variées qui peuvent être d’origine physique, chimique ou biologique. Les interactions à considérer pour les caractériser sont aussi bien celles du feuil avec le subjectile, que celles du feuil avec le milieu ambiant.

Bullage

Défectuosité initiale caractérisée par l’apparition de bulles ou de pores (bulles crevées).

Nota :

le bullage peut provenir de l’emploi de solvants ou de diluants trop volatils dans les conditions de séchage ou d’un dégagement gazeux à travers la peinture appliquée.

Cloquage

Altération caractérisée par des déformations convexes du feuil sous la forme de cloques, corrélatives au décollement d’une ou plusieurs des couches constitutives du feuil.

Corrosion bactérienne

Corrosion chimique ou électrochimique, déclenchée et/ou entretenue par certaines bactéries.

Craquelage (craquelures)

Altération caractérisée par l’apparition de discontinuités.

Nota :

 

1. Selon que le craquelage intéresse ou non la totalité de l’épaisseur du feuil, il est dit profond ou superficiel.

2. Selon la forme de craquelures, ce craquelage est dénommé « faïençage » ou « peau de crocodile ».

Fonction cuvelage

Fonction que doit assurer tout ou partie d’un ouvrage devant résister à des...

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