Prenant comme point de départ qu’il y a des relations d’équivalence entre forces moléculaires et contraintes, c'est-à-dire possibilité de liaison entre forces extérieures connues et forces intérieures inconnues, l’article démontre l’insuffisance de cette démarche — et de ces calculs — si on veut vraiment maîtriser l’anticipation de contraintes en un point. Pour aller plus loin, il faut être capable de générer des hypothèses intelligentes sur les déformations, et les relations qu’elles entretiennent avec lesdites forces intérieures.
L’article se concentre donc sur le phénomène des déformations vu comme l’addition cumulative d’un ensemble de modifications à l’échelle moléculaire. On y comprend précisément ce qu’est une « déformation pure », une dilatation cubique, etc.
La démonstration aboutit à une approche synthétique où l’idée de « contrainte » est une réaction naturelle de la matière qui cherche à « résister », donc à compenser, les forces à l’œuvre dans une « déformation ».
Pour de plus amples informations, le lecteur est invité à lire les articles complémentaires [TBA1335] et [TBA1345] .