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1 - QUEL EST L’IMPACT D’UNE SUBSTANCE CHIMIQUE IRRITANTE SUR LES VOIES RESPIRATOIRES ?

2 - QUEL EST L’IMPACT D’UNE SUBSTANCE CHIMIQUE SUR LA PEAU ?

3 - COMMENT LES TESTS IN VITRO D’IRRITATION ET DE CORROSION CUTANÉE SONT-ILS MENÉS ?

4 - QUEL EST L’IMPACT D’UNE SUBSTANCE CHIMIQUE SUR L’ŒIL ?

5 - COMMENT LES TESTS D’IRRITATION OCULAIRE SONT-ILS CONDUITS ?

6 - TESTS « IN VITRO » D’IRRITATION OU DE CORROSION OCULAIRE

7 - COMMENT EFFECTUER LE CLASSEMENT ET L’ÉTIQUETAGE IRRITANTS ET CORROSIFS DES SUBSTANCES CHIMIQUES ?

8 - QUELLE EST LA VALIDITÉ DES RÉSULTATS DES TESTS ?

9 - NOTRE CONSEIL

  • 9.1 - Privilégiez les tests « in vitro »
  • 9.2 - Définissez l’utilisation des résultats des tests que vous entreprenez

10 - ERREURS À ÉVITER

  • 10.1 - Ne négligez pas la valeur des informations, ainsi que le choix des tests

11 - FOIRE AUX QUESTIONS

12 - ABRÉVIATIONS ET ACRONYMES

13 - GLOSSAIRE

Fiche pratique | Réf : FIC1170 v1

Foire aux questions
Irritation respiratoire, oculaire, cutanée : comment se traduit l’action localisée des substances chimiques sur l’organisme ?

Auteur(s) : Alain LOMBARD

Date de publication : 10 févr. 2025 | Read in English

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Auteur(s)

  • Alain LOMBARD : Consultant toxicologue et IPRP, Allotoxconsulting, Antibes, France

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INTRODUCTION

L’action toxique locale d’une substance chimique peut se traduire par une action néfaste localisée à l’endroit de contact avec l’organisme (voies respiratoires, peau, œil).

Elle est le résultat de contacts accidentels et limités dans le temps à concentrations/doses élevées.

La tolérance locale est un problème d’innocuité à court terme.

Il vous faut comprendre les mécanismes d’irritation et de corrosion respiratoire, cutanée et oculaire afin de savoir choisir les tests qui permettront d’évaluer le danger d’irritation et de corrosion. Vous pourrez ainsi procéder au classement et à l’étiquetage des substances chimiques et mettre en place les moyens de prévention adaptés.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-fic1170


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11. Foire aux questions

Quelles sont les données physico-chimiques indispensables à connaître avant d’entamer un test d’irritation/corrosion ?

Les données physico-chimiques indispensables à connaître avant d’entamer un test d’irritation/corrosion sont :

  • le pH (acide ou basique) pour déterminer la limite des tests « in vivo » et « in vitro » ;

  • la solubilité et la stabilité de la substance dans l’eau et dans les graisses pour la pénétration à travers la peau et les muqueuses, ainsi que l’impact respiratoire (cf. Toxicologie : Voies de pénétration et biodisponibilité dans l’organisme (ADME) [FIC 1168]), mais aussi de l’action dégraissante superficielle éventuelle ;

  • la volatilité (point d’ébullition et KPa à 30-40 °C) pour vous assurer que la substance sera bien en contact avec la peau et les muqueuses, et que vous pourrez discriminer entre une irritation de nature chimique et une brûlure thermique par évaporation.

Comment les informations se traduisent-elles dans les FDS ?

Les informations inscrites dans les FDS doivent permettre de confirmer le classement et l’étiquetage que vous avez déterminés, mais aussi de donner des indications pour la bonne gestion des expositions potentielles (cf. Exemples d’informations sur deux substances tirées des FDS publiées).

Exemples d’informations sur deux substances tirées des FDS publiées

Chlorure de méthylène

  • Effets locaux (corrosion / irritation / lésions oculaires graves).

  • Contact avec la peau : irritant pour la peau.

  • Chez l’homme : une exposition répétée ou prolongée peut provoquer une irritation de la peau et des dermatoses à cause des propriétés dégraissantes du produit (contact direct avec le produit).

  • Chez l’animal : irritation de la...

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1 Bibliographie

  • A. Lombard et al. – Évaluation technico-économique des produits au stade initial du développement. Partie 2, pp. 153-281. ISTE Éditions, Ltd London (2024).

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