Présentation
Auteur(s)
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Joachim SCHÖPFEL : Maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, Université Lille 3 - Directeur de l’Atelier National de Reproduction des Thèses et membre du laboratoire GERiiCO
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Lire l’articleINTRODUCTION
Le mouvement de la science ouverte améliore l’accessibilité de la littérature grise. Cependant, le manque d’identifiants et les problèmes de qualité et de richesse des métadonnées constituent toujours un handicap pour trouver ces documents, et la conservation à long terme représente un enjeu majeur pour leur pérennité.
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Que veut dire ce terme peu connu de « littérature grise » ?
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Quand intégrer des conférences, rapports, mémoires ou working papers dans un dispositif de veille ?
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Y a-t-il des différences selon les domaines ou thématiques ?
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Comment évaluer la qualité de ce type de documents ?
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Où chercher/trouver ces documents ?
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La littérature grise est-elle libre de droits ?
Cette fiche contribuera à une meilleure utilisation des travaux scientifiques et techniques non publiés ou non commercialisés, en particulier conférences, rapports, mémoires et working papers.
Elle abordera également plusieurs questions en lien avec l’intégration de la littérature grise dans un dispositif de veille scientifique et technique.
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4. Travaux non publiés, working papers, manuscrits : quel intérêt, quelle valeur pour la veille ?
Ces documents sont moins formalisés que les rapports et n’ont souvent pas fait l’objet d’une validation institutionnelle. Il faudra donc porter une attention particulière à la qualité et la fiabilité du contenu et de la source.
Leur intérêt est complémentaire aux autres types de documents : ils définissent une recherche et réflexion en gestation, une communication en temps réel, des documents de travail au plus près du terrain, des équipes et structures de recherche…
Ils contiennent une information sur les experts et organismes d’un domaine particulier, sur les projets en cours ou en préparation, mais aussi sur des sujets émergents et des signaux faibles.
Leur impact et leur représentativité varient d’une discipline à l’autre. Dans certains domaines comme en économie ou en informatique, ils font partie de la communication habituelle et acceptée.
Il n’y a pas de site fédérateur pour ces travaux ; il faut donc chercher auprès des laboratoires, instituts, départements, etc., parfois aussi sur les sites personnels des chercheurs.
L’exception en économie : RePEc.
À noter également le nombre croissant de serveurs de preprint, comme MDPI Preprints.org.
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Travaux non publiés, working papers, manuscrits : quel intérêt, quelle valeur pour la veille ?
DANS NOS BASES DOCUMENTAIRES
ANNEXES
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Accart J.-P. et Rivier A., Mémento de l’information numérique, Paris, Éd. du Cercle de la librairie, 2012
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Chauvin S. et al., « Les mémoires de Master dans les archives ouvertes », inCIUEN 2010, Strasbourg, 14-16 juin 2010, 2010
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Farace D. J. et Schöpfel J. (dir.), Grey Literature in Library and Information Studies, Berlin, De Gruyter Saur, 2010
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Schöpfel J., « Access to European Grey Literature », in Pejsova P. (dir.), Grey Literature Repositories, Zlin, Radim Bacuvcik VeRBuM, 2010, 20-33
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Schöpfel J., « Vers une nouvelle définition de la littérature grise », Cahiers de la Documentation / Bladen voor Dokumentatie, 2012, 66(3), 14-24
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Schöpfel J. (dir.), « Littérature grise : de l’ombre à la lumière (dossier) », I2D Information, données et documents, 2015, 52(1), 28-71
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Schöpfel J. et Prost H., « How scientific papers mention grey literature : a scientometric study based on Scopus data », Collection and Curation, 2021, 40(3), 77-82
GreyNet : Grey Literature Network Service
L’objectif de GreyNet est de faciliter le dialogue, la recherche et la communication entre les personnes et les organisations dans le domaine de la littérature grise.
On trouve d’autre information sur la littérature grise dans les LibGuides de nombreuses universités,...
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