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Réflexion

Phénomène optique qui intervient lors de l'incidence de la lumière sur un matériau. La part de la lumière qui n'est ni absorbée, ni transmise est dite réfléchie. C'est ce phénomène qui explique que l'on voit un objet éclairé par une source, car la lumière émise par la source se réfléchit sur l'objet et vient vers notre œil.

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Réflexion dans les ressources documentaires

  • Article de bases documentaires
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  • 10 oct. 2024
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  • Réf : R6333

Métrologie de surfaces optiques par le Réseau Optique et Photonique du CNRS

L’interférométrie à balayage de phase est la méthode la plus répandue pour la caractérisation de surfaces optiques, telles que les miroirs utilisés sur les installations laser, les lignes de lumière des synchrotrons, ou bien encore pour les applications en astrophysique. Le Réseau Optique et Photonique (ROP) de la Mission pour les Initiatives Transverses et Interdisciplinaires (MITI) du CNRS, a créé un groupe de travail sur la métrologie comparative, notamment en interférométrie à balayage de phase. Cinq laboratoires issus du milieu académique (CNRS, CEA et universités) se sont associés afin d’évaluer leurs capacités en métrologie interférométrique.

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2025
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  • Réf : R6747

L’analyse combinée XRR-GIXRF sans référence pour les couches minces

La propriété des éléments à émettre un rayonnement caractéristique, suite à une excitation par rayons X ou fluorescence X, est exploitée à des fins de quantification. Les équations décrivant cette interaction lumière-matière sont rappelées, ainsi que les conditions expérimentales nécessaires pour s’affranchir du besoin d’étalons de référence. La fluorescence X peut aussi être exploitée en la combinant avec la réflectivité X pour l’étude des couches minces d’épaisseur nanométrique. L’approche présentée ici exploite les données fondamentales dont les enjeux de justesse et d’incertitudes associés sont abordés dans un souci métrologique. 

  • Article de bases documentaires
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  • 10 sept. 2025
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  • Réf : RAD6712

Introduction à la détection sous-marine passive

Le sonar passif est discret et ne perturbe pas la faune marine puisqu’il n’écoute que les sons provenant des bruiteurs, lesquels émettent des signaux acoustiques se propageant dans l’océan pour être reçus par les antennes du sonar. Ces dernières sont perturbées par les nuisances sonores provenant du porteur et du milieu. Les signaux reçus par les capteurs de l’antenne sont traités par des algorithmes appropriés dont les sorties sont affichées afin qu’un opérateur, aidé de l’écoute audio, décide de l’intérêt de la détection. L’article décrit chaque étape du cheminement de l’information, de la source acoustique à l’opérateur. Cet ordre est aussi celui des termes de l’équation sonar servant à estimer la portée. Trois exemples issus de situations réelles en mer montrent l’emploi de ce formalisme.


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