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1 - FABRICATION DU PERBORATE DE SODIUM TÉTRAHYDRATE OU PTH

2 - FABRICATION DU PERBORATE DE SODIUM MONOHYDRATE OU PMH

3 - ASPECTS ÉCONOMIQUES RELATIFS AUX PMH ET PTH

  • 3.1 - Production et marché mondial
  • 3.2 - Principaux producteurs
  • 3.3 - Prix en Europe

4 - FICHE PRODUIT : PERBORATE DE SODIUM TÉTRAHYDRATE NABO3 .4 H2O

  • 4.1 - Propriétés physico-chimiques
  • 4.2 - Précautions d’emploi

5 - FICHE PRODUIT : PERBORATE DE SODIUM MONOHYDRATE NABO3.H2O

  • 5.1 - Propriétés physico-chimiques
  • 5.2 - Précautions d’emploi
  • 5.3 - Principales applications

| Réf : J6475 v1

Fabrication du perborate de sodium monohydrate ou PMH
Perborates de sodium

Auteur(s) : Robert SCHUFFENECKER

Date de publication : 10 mars 1994

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INTRODUCTION

Nota :

Mise à jour du texte de Paul MOLLARD (PCUK), paru en 1982 dans ce traité.

Le perborate de sodium trouve sa principale (sinon unique) application dans les lessives ménagères dans lesquelles, en mélange avec des détergents, des agents séquestrants du calcium, des sulfate et silicate de sodium, il constitue l’agent de blanchiment : c’est un véhicule commode de l’eau oxygénée dans les lessives. Sa concentration est comprise entre 5 et 25 % en masse.

Les applications en blanchiment industriel ont pratiquement disparu, au même titre que les utilisations marginales en pharmacie et cosmétologie.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-j6475


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2. Fabrication du perborate de sodium monohydrate ou PMH

2.1 Principe du procédé

La production du perborate de sodium monohydrate s’effectue par déshydratation du perborate tétrahydrate :

NaBO3.4 H2O ® NaBO3.H2O + 3 H2O

l’enthalpie de déshydratation à 25 oC est de + 942 kJ /mol (+ 225 kcal /mol).

La matière première est du PTH sec ou humide (sortant de l’essorage après cristallisation).

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2.2 Description de l’installation (figure 2). Conditions opératoires

La déshydratation s’opère en lit fluidisé entre 65 et 80 oC. La plupart des installations comportent deux étages de fluidisation ; le premier est souvent vibré car le produit en cours de déshydratation est très collant.

La maîtrise de la robustesse et de la surface spécifique du produit est obtenue en contrôlant la vitesse de déshydratation par la température des gaz entrants (de 85 à 110 oC dans le premier étage et de 110 à 140 oC dans le deuxième étage) et parfois en ajoutant de la vapeur d’eau dans le gaz de fluidisation. Des teneurs de 15 à 50 g d’eau par kilogramme d’air sec sont couramment pratiquées.

Il faut entre 30 et 45 m2 de lit fluidisé pour une production horaire de 2 t.

Pour éviter la décomposition du produit, celui-ci est refroidi en sortie de la déshydratation. Pour la même raison, il faut éviter les entrées d’impuretés contenant soit des matières organiques réductrices soit des métaux lourds.

Pour augmenter la résistance mécanique du produit, on peut ajouter au PTH des sels alcalins d’acides formique, acétique ou silicique, avant ou pendant sa déshydratation.

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2.3 Matériaux utilisés

L’appareillage doit être en acier inoxydable pour garantir la stabilité au cours de la production et du stockage.

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) - VAN GELDER (D.W.) -   Équilibres dans le système ternaire : métaborate de sodium – perborate de sodium – eau.  -  Rec. Trav. Chim., 77, p. 739-45 (1958).

  • (2) -   GMELLIN Handbuch des Anorganischen Chemie.  -  Vol. 28, Springer Verlag (1975).

  • (3) - DUGUA (J.), SIMON (B.) -   *  -  J. of Crystal Growth, 44, p. 265 (1978).

  • (4) -   ULLMANN’s Encyklopädie der technischen Chemie.  -  Vol. 17, Verlag Chemie (1979).

  • (5) - KIRK (D.), OTHMER (R.) -   Encyclopedia of technical technology.  -  Vol. 17, John Wiley (1982).

  • (6) - ZACEK (S.), NYVLT (J.), MULLIN (J.W.) -   Industrial crystallization 81.  -  P. 347, Jancic & De Jong Ed., North Holland, Amsterdam (1982).

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