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1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE

2 - POURQUOI ET À QUEL MOMENT ÉTALONNER ?

3 - COMMENT ÉTALONNER ?

4 - CONCLUSION : QUE CHOISIR ?

| Réf : R2520 v1

Conclusion : que choisir ?
Étalonnage et vérification des thermomètres

Auteur(s) : Jacques ROGEZ, Jean LE COZE

Date de publication : 10 janv. 1988

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Auteur(s)

  • Jacques ROGEZ : Ingénieur de l’École Nationale Supérieure d’Électrochimie et d’Électrométallurgie de Grenoble, - Docteur ès Sciences - Chercheur au Centre de Thermodynamique et Microcalorimétrie du Centre National de la Recherche Scientifique (Marseille)

  • Jean LE COZE : Ingénieur Civil des Mines - Docteur ès Sciences - Professeur à l’École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Étienne

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INTRODUCTION

Une multitude de secteurs dans l’entreprise sont concernés par les mesures de températures : production, contrôle, analyse, réception, conditionnement, sécurité, informatique même.

Souvent, les technologies avancées emploient des éléments sensibles à la température ; la connaissance parfois très exacte de ce paramètre est indispensable à la bonne marche des opérations.

Les appareils de mesure modernes sont très compacts et l’on acquiert généralement toute la chaîne de mesure, comportant élément sensible, élément de transmission et élément de lecture. Toutes les opérations d’interpolation et de correction sont réalisées électroniquement, seul l’affichage de la température est accessible.

Ces appareils sont, bien entendu, normalisés et étalonnés avant mise en service, mais l’utilisateur se posera souvent la question de la durée de validité de cet étalonnage. Les quelques éléments rassemblés dans cet article permettront de guider la réflexion sur ce problème important, souvent masqué par la relative facilité d’utilisation des appareils modernes.

Nota :

Cet article ne concerne pas les appareils de mesure de la température par analyse d’un rayonnement : le lecteur se reportera, sur ce sujet, à l’article Pyrométrie optique [R 2 610] dans le présent traité.

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VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-r2520


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4. Conclusion : que choisir ?

L’utilisateur de sondes thermométriques de contact n’a pas toujours le temps ni les moyens financiers, matériels et humains pour mener à bien un étalonnage conforme à ses besoins. L’élaboration et la mise en œuvre d’une chaîne d’étalonnage correcte revient souvent plus cher que la consultation d’un organisme agréé. Comme tout procédé industriel, une telle installation doit être rentabilisée. En fonction de la fréquence nécessaire des étalonnages, des problèmes particuliers posés par la chaîne de mesure souvent intégrée à un appareillage complexe et difficilement dissociable, l’utilisateur décidera de la solution la plus opportune.

4.1 Choix d’un étalonnage maison

L’utilisateur peut choisir d’étalonner lui-même ses propres détecteurs. Ce choix peut se justifier selon la fréquence d’étalonnage, le nombre de détecteurs à étalonner et l’exactitude recherchée. Un laboratoire national ou agréé a une limite dans sa capacité d’étalonnage ; l’établissement d’un laboratoire d’étalonnage peut être parfois un gain de temps. Il faudra prévoir alors un budget, condition nécessaire mais non suffisante, dont l’importance, s’il est bien employé, sera proportionnelle à l’exactitude requise.

Dans ce type d’entreprise, le potentiel humain est souvent décisif. On songera à informatiser les postes pour plus de commodité dans le travail de routine, sans oublier que cet outil n’accroît pas l’exactitude d’un étalonnage mais en simplifie la mise en œuvre (gain de temps par une répétition de mesures et moyennes, interpolations systématisées, etc.). On trouvera dans la référence [30] quelques renseignements utiles.

L’utilisateur aura la possibilité d’employer la technique d’étalonnage aux points fixes, qui pose des problèmes complexes de réalisation et d’interpolation, ou la technique d’étalonnage par comparaison. Dans les deux cas, il trouvera dans le commerce ou auprès des laboratoires nationaux des équipements spécifiques ou des détecteurs certifiés (Fournisseurs dans , L à P). Généralement, l’instrumentation nécessaire à l’étalonnage par comparaison est plus accessible que celle nécessaire à l’étalonnage aux points fixes. En 1988, une thermosonde de précision...

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