Les structures organiques exercent une influence positive sur l’innovation. Leur faible degré de formalisation, centralisation et spécialisation, permet la flexibilité et un partage d’idées, facteurs primordiaux pour l’innovation.
La disponibilité de ressources importantes est également essentielle, elle va permettre au management de se procurer des innovations, d’assumer le coût de leur mise en place et d’amortir les échecs.
Une communication fréquente entre les unités de production va faire sauter les éventuels obstacles à l’innovation grâce à une plus grande interaction entre les départements.
Les équipes transversales vont favoriser l’innovation en facilitant l’interaction à travers les frontières entre départements qui pourraient, sans cela, fonctionner en silos.
Enfin, les études révèlent aussi que la créativité d’un employé augmente lorsque la structure d’organisation la soutient explicitement.
Un rapport positif peut être ainsi créé à travers l’encouragement, ainsi que grâce à une communication transparente et du feed-back constructif.
La résistance au changement s’explique par l’incertitude que le changement suppose, les habitudes, la peur d’une perte au niveau personnel ou la conviction qu’il ne sert pas les intérêts de l’organisation.
Différentes stratégies ont été élaborées pour réduire cette résistance au changement :
- l’éducation et la communication, en formant les collaborateurs et en leur expliquant la nécessité du changement ;
- la participation par l’implication des collaborateurs dans le processus de changement ;
- l’aide et le soutien, en donnant aux collaborateurs le soutien dont ils ont besoin pour mettre en œuvre le changement ;
- la négociation, en proposant aux collaborateurs quelque chose qui a de la valeur en contrepartie d’une réduction de la résistance ;
- la cooptation pour apporter une stratégie d’influence.
