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Article

1 - POURQUOI FAIT-ON DES COMPLEXES ?

2 - POLYMÈRES ET PRODUITS INTERVENANT DANS LES STRUCTURES

3 - DIFFÉRENTS MODES DE PRODUCTION

4 - MARCHÉS CONCERNÉS

5 - MACHINES DE CONDITIONNEMENT

6 - DIFFÉRENTES TECHNIQUES DE CONSERVATION UTILISÉES

7 - SYNTHÈSE ET PROSPECTIVE

| Réf : AM3577 v1

Différentes techniques de conservation utilisées
Les complexes souples ou rigides utilisés en emballage

Auteur(s) : Pierre CHOMON

Date de publication : 10 avr. 2006

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RÉSUMÉ

Alimentaire ou non, tout produit a la nécessité d’être conditionné. Les complexes souples ou rigides, si largement répandus de nos jours, ont été créés pour répondre spécifiquement aux exigences liées à l’emballage. Ils devaient pouvoir assurer une protection mécanique, une conservation adaptée et une bonne présentation marketing du produit conditionné. A ces critères, il fallait rajouter l’aptitude à passer facilement sur les machines de conditionnement. Les dernières technologies en cours associent coextrusion, complexage et procédés tandem. Cet article fait un tour d’horizon (modes de production, de conditionnement, techniques de conservation) de ce matériau d’emballage.

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ABSTRACT

 

Auteur(s)

  • Pierre CHOMON : Cofondateur de la société Soplaril - Chargé de conférences et de formations auprès d’organismes spécialisés

INTRODUCTION

Comme il n’existe pas de matériau d’emballage idéal ayant toutes les qualités requises : présentation, conservation, machinabilité, les spécialistes de cette industrie ont créé des matériaux spécifiques qui, par association des couches, réunissent ces différentes propriétés.

C’est ainsi que se sont développés les « complexes », dont la coextrusion est la composante la plus récente, les dernières technologies associant même complexage, coextrusion et procédés tandem.

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VERSIONS

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-am3577


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6. Différentes techniques de conservation utilisées

La figure 11 explique les phénomènes d’altération d’un produit non autoconservateur face à l’agression permanente des éléments qui vont engendrer sa dégradation.

Comme déjà mentionné dans l’ouvrage, imaginer des complexes hyperbarrières, mais dont les soudures ne seraient pas rigoureusement étanches ou qui n’auraient pas la résistance mécanique suffisante, conduit irrémédiablement à un échec. Il vaut mieux en général privilégier une forte résistance mécanique et des soudures irréprochables en se contentant d’une barrière moyenne... mais néanmoins suffisante et compatible avec la DLC mentionnée sur l’emballage.

6.1 Vide plus chaîne de froid à + 4 oC

Le vide absolu n’existant pas, il y aura toujours dans l’emballage un certain pourcentage d’air qui peut se traduire par :

Le tableau 4 donne des valeurs de pourcentage de vide pour différentes valeurs de pression, ainsi que la température d’ébullition de l’eau, pour un vide donné.

On voit qu’il est nécessaire pour obtenir sous cloche un bon vide d’avoir un produit le plus froid possible.

Si l’on conditionne un plat cuisiné dont la température au remplissage sera de 52 oC, la pompe à vide ne pourra pas descendre en dessous de 100 torr (87 % de vide). De plus, l’humidité aspirée va émulsionner l’huile de la pompe. Il faut donc équiper la machine de conditionnement d’un vacuomètre qui, intégrant la température du produit, arrête le vide avant le point d’ébullition, évitant les souillures au niveau des soudures.

Le vide engendre une pression voisine de 1 kg/cm2, et favorise les exsudats à l’intérieur de l’emballage. C’est pourquoi, il y a une mutation vers le conditionnement sous atmosphère modifiée.

Les matériaux utilisables sont mentionnés au § 4.2...

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