Après la disparition des convertisseurs Bessemer et Thomas, puis, maintenant, des fours Martin, la situation des procédés d’aciérie s’est bien simplifiée et l’on ne trouve pratiquement plus que :
-
des aciéries à l’oxygène effectuant la conversion de la fonte liquide en acier ;
-
et des aciéries électriques basées sur la fusion des ferrailles mais élargissant leur charge aux minerais de fer réduits et, maintenant, à la fonte.
Cette simplification s’accomplit, cependant que toute une série de recherches vise à mettre au point de nouveaux procédés d’aciérie tels que EOF (Energy Optimizing Furnace). Avant de décrire ce procédé, il est nécessaire de comprendre les motivations d’un tel effort pour développer une « troisième voie » en aciérie et de voir à quoi il a abouti.
Pour de plus amples renseignements, le lecteur pourra se reporter en [13].