Comme vu dans l'article [AG 6 700] (consacré à l'activité prépresse), l'émergence des nouvelles technologies a considérablement élargi les moyens de communication. L'imprimé occupe donc, plus que jamais, une place de choix pour l'impression des emballages.
Des études l'ont très souvent démontré, l'acte d'achat est essentiellement provoqué par l'aspect visuel de l'emballage. Dans un linéaire d'hypermarché, c'est en une fraction de seconde qu'un produit se positionnera plus favorablement, par rapport à un autre, en fonction de son aspect, de son identité. L'identification, la charte graphique, passent par cette étape ultime qu'est l'impression.
Imprimer consiste à reproduire et à fixer, sur un matériau déterminé, les formes et les couleurs d'un modèle, sans modifier notablement les propriétés de ce matériau. Derrière cette formule assez simple, réside finalement un système relativement complexe qui nécessite la sélection de zones imprimées et non-imprimées ; l'objectif de l'impression étant d'être capable de déposer (ou non) de l'encre sur le support d'impression.
Pour être disposer d'une aussi grande diversification, avec des supports d'impression très différents, les imprimeurs ont mis au point un certain nombre de méthodes (procédés) d'impression que nous allons découvrir selon leur ordre d'importance.