Dès avant la Seconde Guerre mondiale, certains métaux de transition étaient connus pour catalyser des réactions de la chimie organique. Ces observations avaient d’ailleurs eu des prolongements à l’échelle industrielle. La compréhension des réactions de la chimie organométallique a permis de disséquer le fonctionnement de ces systèmes catalytiques, de les améliorer, et d’en mettre au point de nouveaux.