Article de référence | Réf : TBA1376

Modes opératoires
Le soudage des aciers de construction

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Sommaire

Présentation

INTRODUCTION

Ici est abordé le soudage d’un matériau métallique.

Principe, utilisation, avantages, méthodes, terminologie, techniques de pointage (préparation des soudures proprement dites), et quelques notions d’électricité en guise de rappel, sont le point d’entrée de ce grand article complet.

Les principaux procédés de soudage, très nombreux, sont au centre de ce travail exhaustif :

  • la flamme oxyacétylénique ;

  • le soudage TIG (pour Tungsten Inert Glas) ;

  • le soudage à l’arc avec électrodes enrobées ;

  • les soudages MIG et MAG ;

  • le soudage avec fil fourré ;

  • le soudage à l’arc sous flux en poudre, nommé aussi « arc submergé » ;

  • le soudage par résistance par points qui a produit d’autres techniques dérivées comme le soudage par résistance à la molette, par bossages ;

  • le soudage par résistance électrique qui possède des variantes telles que le soudage en bout simple, ou en bout par étincelage, ou encore par induction ;

  • le soudage au plasma ;

  • le soudage par faisceau d’électrons ;

  • le soudage par faisceau laser ;

  • le soudage par friction ;

  • le soudage par explosion ;

  • le soudage électrique à l’arc pour éléments de fixation.

L’avant-dernière partie de l’article est ouverte sur l’évolution des procédés et techniques pour soudures sur des produits pré-peints ou des aciers galvanisés, sans omettre le sujet délicat de la réparation des soudures et de la corrosion des assemblages hétérogènes.

Enfin, la conclusion porte sur la question des contraintes et déformations d’origine thermique. On y trouve la description de la méthode curieusement nommée « chaude de retrait », ainsi que tous les calculs de vérification appropriés aux spécificités des assemblages par soudures.

Agrémenté d’une multitude d’exemples et de schémas descriptifs, ce travail est une mini-bible des techniques de soudage sur matériaux métalliques.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-tba1376


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Plan de la page

I - Généralités

Principe du soudage

L’opération de soudage consiste à réunir ou rassembler deux pièces ou plusieurs parties constitutives d’un assemblage en perpétuant la continuité de la matière entre les parties à assembler par chauffage, par pression ou par combinaison des deux.

Un produit d’apport dont le point de fusion est du même ordre de grandeur que celui du matériau de base peut être utilisé. Si on soude les métaux, on soude aussi les matières plastiques, les matériaux composites, les céramiques, le verre, etc.

Utilisation et avantages

Le soudage peut aussi être utilisé pour exécuter des rechargements. On rapporte du métal à certains endroits d’une pièce pour compenser une usure de frottement ou de chocs avec un apport plus noble ou plus dur en surface pour réparer des pièces accidentées ou corrodées.

La multiplicité des procédés confère au soudage un domaine d’applications quasi illimité, de la fabrication des microprocesseurs à celle des pétroliers géants.

L’essor industriel du soudage a été rendu possible grâce à la mise au point de puissantes sources d’énergie thermique : flamme oxyacétylénique, arc électrique, plasma, bombardement électronique, laser, etc.

Le soudage simplifie les assemblages et offre les meilleures garanties de résistance mécanique, d’étanchéité, de continuité thermique, électrique et magnétique.

Les méthodes de soudage

On distingue le soudage exécuté sans effort mécanique extérieur, de celui exécuté avec effort. La première méthode exige toujours une élévation de la température jusqu’à fusion des bords des éléments à assembler et nécessite souvent l’introduction dans le joint d’un apport extérieur de métal. Dans la seconde, la liaison peut être obtenue soit par fusion des éléments à assembler, soit à partir de bords demeurant à l’état solide mais portés à température de plasticité du matériau.

Terminologie

La confusion est...

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