En 2016, les professionnels de la construction sont engagés dans un débat autour de l’informatisation de la chaîne de valeur. Ce qui est en cause, c’est la préservation des positions de chacun menacée par les outils du BIM. En fait, cette querelle masque un dysfonctionnement beaucoup plus important, mais occulté qui est le non alignement des performances livrées du bâti avec des performances attendues. Cet article propose un nouvel instrument « programmatique » qui permet d’assurer une continuité entre le cahier des charges initial et le résultat mesuré en usage. Pour cela, deux hypothèses sont conjuguées :- la discrétisation de l’espace-une nouvelle approche de l’usage grâce à sa mutualisation. L’implémentation de cet artefact devrait assurer une meilleure fluidité de la chaîne de valeur.