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1 - SINISTRABILITÉ

2 - CHARPENTES TRADITIONNELLES

3 - CHARPENTES LÉGÈRES

4 - CHARPENTES EN LAMELLÉ-COLLÉ

5 - CAUSES EXCEPTIONNELLES ET ACCIDENTELLES

6 - CONCLUSION

Article de référence | Réf : C2450 v1

Conclusion
Pathologie des structures en bois

Auteur(s) : Jean-Pierre BIGER

Date de publication : 10 août 1997

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Auteur(s)

  • Jean-Pierre BIGER : Ingénieur de l’École supérieure du bois - Spécialiste en structures bois au Bureau Veritas

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INTRODUCTION

Les structures en bois ont démontré leur capacité à braver les siècles, mais ce privilège n’est pas donné à toutes. D’après les statistiques, la sinistralité des structures bois ne représente que 3 % de la sinistralité totale de la construction. Toutefois, certains cas sortant de l’ordinaire échappent à cette analyse.

Qu’il s’agisse de charpente traditionnelle, de charpente légère, ou de charpente en lamellé-collé, les erreurs de conception, de fabrication, de mise en œuvre, ou les circonstances exceptionnelles et accidentelles, sont les genres auxquels se rattachent habituellement les causes de pathologie. La pathologie des charpentes en bois trouve paradoxalement l’une de ses principales sources dans les règles de calcul et de conception elles-mêmes.

Les effets de la traction transversale, les effets d’échelle, les effets de durée de chargement, les effets du glissement des assemblages, l’effet d’autocintrage... sont sous-estimés, voire ignorés, par les Règles de calcul et de conception en vigueur depuis 1971. À ces lacunes correspond le genre inattendu des « sinistres réglementaires ».

La détection de ces anomalies a suscité la réflexion des ingénieurs, des professionnels, des scientifiques porteurs de la nouvelle approche du matériau bois développée dans le cadre européen, ce qui a permis de corriger les dispositions de construction ou de calcul défaillantes [1] [14].

Nota :

Messieurs Gras et Renou de Saretec, Mainnevrey du Cabinet Cerruti, Amilhau de la SCOR, Loutrel des Établissements Renofors, Simonneau des Établissements Simmonneau, Briand, Blanc, Czeszynski, Dupont, Lebeau, Le Bris, Letort, Marchand, Ménard, Sens du Bureau Veritas, ont contribué à la collecte des illustrations et des informations présentées dans le présent document. L’auteur les en remercie très vivement.

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c2450


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6. Conclusion

La règle de confidentialité habituellement observée en matière de pathologie de structures a pour effet inverse de rendre indétectable la survenance de séries de désordres, avant que leur accumulation ne les fasse remarquer. C’est par transgression de cette règle que l’on peut atteindre le but recherché, l’image sereine d’un mode de construction très faiblement sinsitrant.

L’existence de « sinistres réglementaires » ne doit pas être attachée aux seules règles CB 71. Il n’est pas exclu que l’Eurocode 5, en vertu de son caractère expérimental et malgré son statut européen, puisse comporter des lacunes dangereuses, dont la présence ne pourrait être détectée autrement que par la voie expérimentale.

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BIBLIOGRAPHIE

  • (1) -   *  -  Recueil de contributions au calcul des éléments et structures bois (première et deuxième parties). – Annales de l’ITBTP, n° 466, juil.-août 1988 et n° 497 (oct. 1991).

  • (2) - HUET (C.), GUITARD (D.), MORLIER (P.) -   Le bois en structure, son comportement différé  -  Annales de l’ITBTP, n° 469 (déc. 1988).

  • (3) - SAGOT (G.) -   Sinistralité des fermettes  -  Agence Qualité Construction (nov. 1995).

  • (4) - BIGER (J.-P.) -   Influence des liteaux sur la stabilité des fermettes au flambement transversal  -  Annales de l’ITBTP, n° 497 (oct. 1991).

  • (5) - CRUBILE (Ph.) -   Analyse de pathologies de structures en bois lamellé collé  -  Agence Qualité Construction (déc. 1994).

  • (6) - LYOT (G.) -   Déformations...

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