Article de référence | Réf : C3608 v1

Résumé à savoir
Écoulement du flux de la vapeur d’eau - Théorie et réglementation

Auteur(s) : Paul DAHAN

Date de publication : 10 févr. 2011 | Read in English

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RÉSUMÉ

L’air est un mélange gazeux qui contient en proportions différentes plusieurs constituants, dont l’hydrogène, l’azote, l’oxygène, le gaz carbonique, les gaz rares et la vapeur d’eau. L’air atmosphérique, appelé air humide pollué, est quant à lui composé d’un certain nombre de gaz, d’humidité, de poussières et de bactéries. Par convention, est défini l’air sec, dépourvu d’humidité, donc de conception entièrement théorique, et l’air humide possédant une certaine teneur d’humidité. Des grandeurs physiques, comme la sensibilité des cheveux à l’humidité, permettent de quantifier l’état hygrothermique statique de l’air, et de définir l’humidité relative et le point de rosée. La loi de Fick appréhende le transfert de la vapeur d’eau entre deux ambiances hygrothermiques différentes, et introduit la notion de perméance.

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Auteur(s)

  • Paul DAHAN : Ingénieur ETP, European engineer, ex-professeur à l’ESTP

INTRODUCTION

L’air est un mélange gazeux qui contient en proportions différentes :

  • oxygène ;

  • hydrogène ;

  • azote ;

  • gaz carbonique ;

  • gaz rares ;

  • vapeur d’eau.

Une question fondamentale à poser est la suivante : est-ce-que dans l’air, il peut y avoir n’importe quelle quantité de vapeur d’eau ?

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DOI (Digital Object Identifier)

https://doi.org/10.51257/a-v1-c3608


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5. Résumé à savoir

5.1 Flux de vapeur

Le flux de vapeur va toujours des hautes températures (ou des hautes pressions) vers les basses températures (ou les basses pressions).

En bâtiment, nous constatons souvent que l’eau, à l’état liquide, est la cause originelle de pathologies avérées. Il faut donc vérifier, pour les éviter que la migration de la vapeur d’eau à travers la paroi revêtue, ou non, se fait à l’état vapeur, même et surtout quand l’entrepreneur et/ou le fabricant qualifient le revêtement prévisionnel de « peintures microporeuses ! ».

HAUT DE PAGE

5.2 Microporosité

Souvent, dans le jargon professionnel, on parle de microporosité d’une peinture, ce qui sous-entend : la vapeur d’eau à travers le feuil de peinture migrera à l’état vapeur, ou encore, la peinture laissera respirer la paroi ainsi revêtue.

Cette affirmation « verbale » n’est que « qualitative ! ».

Comment démontrer et être en mesure de pouvoir affirmer, d’une façon quantitative et incontestable, cette propriété physique ?

Comme nous l’avons vu (cf. § 4.4), pour tous les systèmes, on peut, déterminer leur indice de transfert de la vapeur d’eau ( I TV). Ils sont donc (plus ou moins) perméables à la vapeur d’eau, autrement dit, toutes les peintures sont en partie microporeuses.

Pour statuer « scientifiquement » sur la microporosité d’un feuil de peinture, c'est-à-dire, « affirmer » que la migration de la vapeur d’eau se fera à l’état vapeur, il faut connaître :

  • la composition et les caractéristiques physiques des éléments...

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    NORMES

    • - NF EN ISO 7783-1 - 09.1999

    • Détermination du coefficient de transmission de la vapeur d’eau. - NF EN ISO 7783-2 - 07.1999

    • Classification. - NF EN 1062-1 - 10.2004

    • Détermination et classification de la perméabilité à l’eau liquide. - NF EN 1062-3 - 02.1999

    • Détermination de la perméabilité au dioxyde de carbone. - NF EN 1062-6 - 11.2002

    • Détermination de la résistance à la fissuration. - NF EN 1062-7 - 08.2004

    • Méthodes de conditionnement avant essais. - NF EN 1062-11 - 11.2002

    • Ces normes, de portée nationale, publiées par l’AFNOR s’appliquent aux revêtements à base de polymères en réfection des façades...

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