Le point commun à toutes ces méthodes est l’existence d’un traceur dont le mouvement est observé à partir de la lumière qu’il émet ou qu’il diffuse. On peut distinguer les méthodes pariétales, dans lesquelles les traceurs sont placés sur la paroi d’une maquette, de celles où ils sont injectés au cœur du fluide. On distingue également les méthodes traditionnelles pour lesquelles l’éclairage est issu d’une source de lumière incohérente, le plus souvent blanche, et les méthodes tomographiques utilisant la lumière cohérente d’un laser. Dans tous les cas, le mouvement des traceurs est supposé représentatif de l’écoulement étudié.