Vous pouvez nous faire confiance, c'est un ancien ingénieur Wi-Fi d'Apple qui le dit.
Ce n’est pas parce que le Wi-Fi est partout qu’on sait de quoi on parle. Pour le commun des mortels, le Wi-Fi reste un truc mystérieux qui rend disponible « de l’internet » en en envoyant un peu partout autour de nous (peut-être de manière nocive, pour les plus informés), et qui permet de relier sans fil de nombreux appareils informatiques au « réseau », dans lequel nous baignons – littéralement. Et c’est évidemment lorsque l’on n’a pas de réseau qu’on en entend le plus parler. « Ya pas de réseau ! » ou encore « le réseau est pourri » sont des refrains populaires qui ont cela de frustrant qu’il peuvent être chantés alors même qu’un routeur se trouve dans les parages. Jusqu’à venir nous cueillir dans la tiède torpeur du foyer.
Alf Watt, chevalier blanc du Wi-Fi
Et c’est ici que ce vieux briscard d’Alf Watt intervient. Dans une interview accordée au site américain The Mac Observer, le développeur du détecteur de réseaux Wi-Fi iStumbler – et ancien ingénieur Wi-Fi d’Apple – nous livre une astuce de premier ordre : lorsqu’un routeur possède des antennes omnidirectionnelles externes, plutôt que de les orienter instinctivement et « naturellement » à la verticale, Alf Watt recommande d’orienter l’une perpendiculairement à l’autre.
La réception radio est maximale lorsque le client (l’appareil qui souhaite se connecter) et le point d’accès ont une polarisation assortie, en d’autres termes lorsque les antennes du client et celles du point d’accès sont dirigées le long d’un même plan. Certains appareils ont leurs antennes internes orientées horizontalement, d’autres… verticalement. Penser perpendiculairement reste donc la solution.
Crédit illustration : The Mac Observer
Par Rahman Moonzur
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