Souvent présentées en page de garde du rapport d’audit (cf. Modèle de rapport d’audit), ces informations contextuelles, qui de prime abord peuvent paraître administratives, revêtent avec l’expérience une importance croissante.
Lieux, dates et durée rappellent le cadre et les contraintes de l’action, jeu de rôles tout à fait sérieux !
Les objectifs de l’audit peuvent différer selon qu’il s’agit d’un audit interne ou d’un audit de fournisseur. Pour un audit interne, il peut s’agir d’objectifs communs (par exemple vérification du fonctionnement du système de management ou d’un processus, conformément à une planification annuelle d’audits internes) ou bien d’objectifs spécifiques (par exemple vérification suite à des dysfonctionnements ou réclamations récurrentes).
L’indication du champ de l’audit (domaines ou départements, processus, activités et prestations audités), comme la liste des participants, les référentiels d’audits (normes de certification, système de management…) et la référence au plan d’audit, nécessaire au-delà d’une demi-journée d’audit, sont également des informations utiles pour la compréhension et l’exploitation des résultats de l’audit.
La liste exhaustive des preuves et documents examinés peut être intéressante. C’est une pratique variable selon les entreprises et qui dépend aussi des référentiels utilisés, notamment dans le cadre de certifications, qui peuvent drainer des pratiques et exigences spécifiques.
A noter
Ces éléments d’informations, bien que généralement présentés en première page du rapport d’audit, ne sont pas nécessairement rédigés en premier. Chaque auditeur peut développer ses habitudes personnelles à cet égard.